Graines et ensemencement
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Graines et ensemencement
Qui sait que les deux tiers des semences sont commercialisées ? Seul un tiers échappe (encore) aux firmes spécialisées, mais les multinationales – Monsanto, Bayer, Syngenta… – renforcent sans cesse leur département semences, en rachetant notamment toutes les entreprises spécialisées.
Ces multinationales rêvent de détenir à terme le monopole de la vente des graines, qu’elles rendent stériles afin qu’elles ne puissent être utilisées qu’une seule saison : tout agriculteur, professionnel ou amateur, sera alors obligé, le plus tôt possible, espèrent-elles, d’en passer sous leurs fourches financières.
Oui, mais… un ancien cadre financier, las de jouer avec les chiffres de la Bourse, s’est reconverti dans une activité originale : le troc de graines.
Son site « Graines de troc » se veut une « plate-forme en ligne où chacun peut proposer et échanger ses graines, en constituant tous ensemble une collection commune ». Et quelle collection : le choix est de quelque 4 600 variétés !
Les particuliers prennent contact entre eux grâce à un simple courriel, s’entendent, puis échangent ensuite via la Poste… avec une simple recommandation si l’une des variétés de graines est une espèce invasive.
Le monopole grainetier n’est donc peut-être pas encore une fatalité. Qui a dit qu’il n’y a jamais de solution à tout problème ?
http://grainesdetroc.fr/
Ces multinationales rêvent de détenir à terme le monopole de la vente des graines, qu’elles rendent stériles afin qu’elles ne puissent être utilisées qu’une seule saison : tout agriculteur, professionnel ou amateur, sera alors obligé, le plus tôt possible, espèrent-elles, d’en passer sous leurs fourches financières.
Oui, mais… un ancien cadre financier, las de jouer avec les chiffres de la Bourse, s’est reconverti dans une activité originale : le troc de graines.
Son site « Graines de troc » se veut une « plate-forme en ligne où chacun peut proposer et échanger ses graines, en constituant tous ensemble une collection commune ». Et quelle collection : le choix est de quelque 4 600 variétés !
Les particuliers prennent contact entre eux grâce à un simple courriel, s’entendent, puis échangent ensuite via la Poste… avec une simple recommandation si l’une des variétés de graines est une espèce invasive.
Le monopole grainetier n’est donc peut-être pas encore une fatalité. Qui a dit qu’il n’y a jamais de solution à tout problème ?
http://grainesdetroc.fr/
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