Cinématique des muses
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Cinématique des muses
Ludovic Maubreuil a publié en 2019 un livre « Cinématique des muses, vingt égéries secrètes du cinéma » consacré à une vingtaine de ces jolies actrices des années 60-70 qui pour la plupart, sans accéder au statut de star, souvent abonnées aux seconds rôles, ont profondément marqué le cinéma de cette époque.
Selon l’auteur, « les actrices des ces années-là mettaient en pièce la doxa de leur époque alors que celles d’aujourd’hui semblent mettre un point d’honneur à la servir. »
Parmi ces actrices :
-Tina Aumont
-Catherine Jourdan
-Francine Bergé
-Amanda Langlet
-Cathy Rosier
-Mimsy Farmer
-Elisabeth Wiener
-Catherine Spaak
-Joanna Shimkus
-Edith Scob
-Elsa Martinelli
-Anicée Alvina
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Selon l’auteur, « les actrices des ces années-là mettaient en pièce la doxa de leur époque alors que celles d’aujourd’hui semblent mettre un point d’honneur à la servir. »
Parmi ces actrices :
-Tina Aumont
-Catherine Jourdan
-Francine Bergé
-Amanda Langlet
-Cathy Rosier
-Mimsy Farmer
-Elisabeth Wiener
-Catherine Spaak
-Joanna Shimkus
-Edith Scob
-Elsa Martinelli
-Anicée Alvina
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Dernière édition par neo-codion le Mar 12 Jan 2021 - 12:02, édité 1 fois
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Cinématique des muses
Elisabeth Wiener
À huit ans, j’étais amoureux de l’une de ces muses du cinéma : Elisabeth Wiener. Elle avait vingt ans, c’était la fille du célèbre pianiste Jean Wiéner et on la voyait à la télévision dans des feuilletons comme Rocambole (elle interprétait Gipsy la Bohémienne) ou dans des téléfilms comme Illusions perdues (1966). À la même époque, j’étais également amoureux de Christine Delaroche (Belphégor en 1965) mais elle, elle ne fait pas partie de la liste des muses du cinéma.
Elisabeth Wiener fut l’héroïne en 1968 du dernier film, qui fit scandale je crois, de H.G. Clouzot, La Prisonnière et que je n’ai jamais vu.
À huit ans, j’étais amoureux de l’une de ces muses du cinéma : Elisabeth Wiener. Elle avait vingt ans, c’était la fille du célèbre pianiste Jean Wiéner et on la voyait à la télévision dans des feuilletons comme Rocambole (elle interprétait Gipsy la Bohémienne) ou dans des téléfilms comme Illusions perdues (1966). À la même époque, j’étais également amoureux de Christine Delaroche (Belphégor en 1965) mais elle, elle ne fait pas partie de la liste des muses du cinéma.
Elisabeth Wiener fut l’héroïne en 1968 du dernier film, qui fit scandale je crois, de H.G. Clouzot, La Prisonnière et que je n’ai jamais vu.
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Cinématique des muses
neo-codion a écrit:
Selon l’auteur, « les actrices des ces années-là mettaient en pièce la dora de leur époque alors que celles d’aujourd’hui semblent mettre un point d’honneur à la servir. »
La dora ???
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 44
Re: Cinématique des muses
La doxa !!. Pardon, merci, j’ai corrigé.
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Tina Aumont
Tina Aumont (1946-2006), « une des plus belles femmes du monde » (Tinto Brass), fille de l’acteur français Jean-Pierre Aumont et de l’actrice hollywoodienne María Montez, tourna dans les années 60-70 avec Fellini et Jean Rolin. Elle tourna pas mal en Italie, notamment dans des westerns spaghetti, d’où elle fut expulsée pour des histoires de drogue...
Klondike- Messages : 522
Date d'inscription : 14/10/2011
Re: Cinématique des muses
Je ne sais pas si je poste au bon endroit :
Laurie Bird (1953-1979), elle fut mariée au chanteur Art Garfunkel, modèle, photographe et actrice, elle a joué dans quelques films, des rôles de jeune hippie…
Laurie Bird (1953-1979), elle fut mariée au chanteur Art Garfunkel, modèle, photographe et actrice, elle a joué dans quelques films, des rôles de jeune hippie…
chandoo- Messages : 4
Date d'inscription : 12/03/2022
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