Légalisation du cannabis
+18
Anaïs
Ardwenn
Crumby
mimi pinçon
Hippy73
hippium
cory
Eon
Vianney
creme_de_marron
Mr_Nostalgia
hipnik
Dr_Natural
oiseaulys
Lilooken
Dan
Jean-Luc
neo-codion
22 participants
Page 2 sur 6
Page 2 sur 6 • 1, 2, 3, 4, 5, 6
Re: Légalisation du cannabis
T'as vécu au Moyen-Age toi ?
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 43
Re: Légalisation du cannabis
Tu sais, des fois quand je vois la mentalité de certains j'ai l'impression de vivre toujours au Moyen-Age

Dr_Natural- Messages : 1663
Date d'inscription : 02/08/2011
Re: Légalisation du cannabis
Dans certains milieux, on prend de la coke pour travailler plus.celadon a écrit: l'usage de la drogue est réservé à une élite
imaginez vous un monde où personne ne travaille sérieusement
mais ce serait la cata
Tout dépend de quelle substance on parle.
Eon- Messages : 490
Date d'inscription : 06/08/2011
Re: Légalisation du cannabis
Jean-Luc Delarue n'a pourtant pas besoin de travailler plus pour gagner plus ! Ces histoires de dépénalisation c'est quand même des préoccupations de bobos !
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 43
Re: Légalisation du cannabis
Il faudrait aussi parler de l'égalisation (en qualité) du cannabis,
parce que, parfois, sous ce nom-là, on trouve de la sacrée cochonnerie.
parce que, parfois, sous ce nom-là, on trouve de la sacrée cochonnerie.
Eon- Messages : 490
Date d'inscription : 06/08/2011
Re: Légalisation du cannabis
Il faudrait une commission de contrôle qui garantisse la qualité

Hippy73- Messages : 349
Date d'inscription : 19/08/2011
Localisation : Savoie
Re: Légalisation du cannabis
La Grèce vient de décider de la dépénalisation de toutes les drogues en ce qui concerne la consommation et la détention.
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/drogues-la-grece-depenalise-100412
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/drogues-la-grece-depenalise-100412
Re: Légalisation du cannabis
Et t'as vu ce qu'elle est devenue depuis, la Grèce ?

mimi pinçon- Messages : 1127
Date d'inscription : 18/11/2011
En route vers la dépénalisation ?
Une proposition de loi du Sénat vise à remplacer la sanction de la consommation de cannabis, actuellement d'un an d'emprisonnement et d'une amende de 3750 euros, par une simple contravention de 3e classe, c'est à dire de 450 euros maximum ou 68 euros si elle est payée dans un délai de 45 jours.
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Légalisation du cannabis
Ah ? Je ne savais pas. L'objectif vise sans doute à réaffecter les missions de la police plus vers la chasse au trafic et non plus à la répression des consommateurs qui tenait lieu jusqu'aujourd'hui, d'opération de pure communication dans une stratégie de politique du chiffre et qui a montré toute son inefficacité...
Quant à la dépénalisation, c'est une autre histoire...
Quant à la dépénalisation, c'est une autre histoire...
Salle de shoot
Le député PS Jean-Marie Le Guen s'est prononcé en faveur de l'autorisation de "la création de salles d'injection de drogue, mais de façon très encadrée."
Bien plus que le faux débat sur la dépénalisation du cannabis, ce serait une sage mesure d'urgence de prophylaxie, soutenue par de nombreuses associations dont Médecins du Monde et Act Up.
Ce qui n'est pas l'avis de Camille Bedin, secrétaire nationale de l'UMP qui fustige : "ouvrir des salles de consommation de drogues, ce n'est pas lutter contre le fléau de la drogue, c'est banaliser l'usage et légaliser la consommation des drogues les plus dures. Et ce, aux frais des contribuables" On voit que cette dame n'accompagne pas chaque matin ses enfants dans une école du XIXème arrondissement !
Les salles de shoot qui permettent d'éviter que les junkies se shootent dans la rue dans des conditions d'hygiène déplorables et qu'on retrouve des seringues souillées sur les trottoirs existent dans de nombreux pays européens dont La Suisse et l'Allemagne...
Bien plus que le faux débat sur la dépénalisation du cannabis, ce serait une sage mesure d'urgence de prophylaxie, soutenue par de nombreuses associations dont Médecins du Monde et Act Up.
Ce qui n'est pas l'avis de Camille Bedin, secrétaire nationale de l'UMP qui fustige : "ouvrir des salles de consommation de drogues, ce n'est pas lutter contre le fléau de la drogue, c'est banaliser l'usage et légaliser la consommation des drogues les plus dures. Et ce, aux frais des contribuables" On voit que cette dame n'accompagne pas chaque matin ses enfants dans une école du XIXème arrondissement !
Les salles de shoot qui permettent d'éviter que les junkies se shootent dans la rue dans des conditions d'hygiène déplorables et qu'on retrouve des seringues souillées sur les trottoirs existent dans de nombreux pays européens dont La Suisse et l'Allemagne...
Dernière édition par neo-codion le Ven 31 Aoû 2012 - 19:06, édité 2 fois
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Bon sens
Bien d'autres pays Européens ont franchi le pas depuis longtemps. En plus de deux déjà cités, on trouve entre autres, le Royaume-Uni, la Belgique, les Pays-Bas...
Il y a vraiment urgence sanitaire : la consommation de l'héroïne, drogue du désespoir, est en nette augmentation à Paris...
Ce genre de dispositif permettrait de toucher les usagers les plus précaires et de les intégrer dans un parcours de soins et de suivi social. L'Inserm a pointé le bénéfice de ces salles de shoot...
Il y a vraiment urgence sanitaire : la consommation de l'héroïne, drogue du désespoir, est en nette augmentation à Paris...
Ce genre de dispositif permettrait de toucher les usagers les plus précaires et de les intégrer dans un parcours de soins et de suivi social. L'Inserm a pointé le bénéfice de ces salles de shoot...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Légalisation du cannabis
"Les salles de shoot n'augmenteront pas l'usage des drogues"
Marc Valleur, psychiatre, explique pourquoi de tels lieux seraient utiles.
Propos recueillis par Caroline Piquet (Le Monde, 1er septembre 2012)
La ministre des affaires sociales et de la santé, Marisol Touraine, a annoncé jeudi 30 août sur LCI que les conditions seraient "assez rapidement" réunies pour des expérimentations de salles d'injection de drogue. Cette déclaration fait écho au débat relancé mercredi par Jean-Marie Le Guen, adjoint PS au maire de Paris, qui avait demandé au gouvernement de légaliser les "salles de shoot" afin d'améliorer le suivi des toxicomanes.
Plusieurs responsables de l'UMP se sont montrés hostiles à cette proposition, à l'image de la députée européenne Rachida Dati, qui a évoqué une "mesure dangereuse et irresponsable". Un rapport collectif de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) publié en 2010 avait pourtant souligné les effets positifs de ces salles et poussé Roselyne Bachelot, alors ministre de la santé, à les expérimenter. Le docteur Marc Valleur, psychiatre et médecin chef du centre médical Marmottan à Paris, explique les raisons pour lesquelles il est favorable à l'ouverture de ces salles.
Que pensez-vous du débat lancé par Jean-Marie Le Guen ?
Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr. Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l'édition abonnés
Je regrette que le débat soit tout de suite très politisé et présenté de manière très simpliste et caricaturale. Il ne s'agit pas de sécuriser la consommation de jouisseurs mondains mais bien de prendre en charge des gens malheureux qui souffrent et qui s'abrutissent seuls dans la rue à coup d'injections. Personne ne se réfère à l'expertise collective de l'Inserm et aucun ne s'interroge sur les expériences de nos pays voisins. Les Allemands ont des centres d'injection et ils ne sont pas pour autant babas cool, gauchistes et laxistes.
Pourquoi le sujet fait-il autant polémique en France ?
Tous les pays qui ont mis en place ce dispositif ont eu besoin d'en débattre. Mais dès qu'on parle de drogues en France, on assiste à des réactions passionnelles. On ne doit surtout pas en parler. Il y a cette idée qu'il faut laisser mourir les toxicomanes. Les gens s'imaginent à tort que ces centres vont augmenter l'usage des drogues. Cette réticence se cristallise autour de la loi de 1970 qui dit que tout usage de drogue est passible d'un an de prison. Cette législation extrêmement dure et catégorique symbolise cette guerre menée contre la drogue et bloque la réflexion sur la prise en charge de la toxicomanie.
Quel est le rôle des centres d'injection supervisés ?
Ce sont des lieux où l'on accueille des toxicomanes marginalisés, très précaires et souvent sans domicile. Dans ces structures, des médecins, infirmiers ou éducateurs avertis supervisent leur consommation en vérifiant qu'il n'y ait pas de surdosage pouvant entraîner des accidents de type overdose. Ces rencontres permettent de leur apporter des informations d'hygiène et de prévention, puis d'être orientés vers des circuits de soins. C'est un lieu où ils pourront discuter et se faire accompagner. Il faut savoir que ces personnes se font des injections dans des squats, des sous-sols, des toilettes. Très souvent, ils le font dans de mauvaises conditions, en moins de trois-quatre minutes et sans se désinfecter. Ces centres constituent donc une première étape pour les sortir de la rue.
Quels sont les effets bénéfiques de ces centres ?
L'expertise collective de l'Inserm qui regroupe plusieurs évaluations effectuées sur des centres d'injection existant à l'étranger a montré l'impact positif de ces salles sur la morbidité et la mortalité liées aux overdoses. Ces études ont aussi prouvé que ces centres entraînaient une baisse de nuisance pour les riverains et canalisaient les toxicomanes. Grâce à ces dispositifs, ils zonent moins dans les quartiers et laissent moins de seringues sur la voie publique. Il est vrai qu'un tel centre peut être coûteux mais cela revient moins cher qu'un centre de soins ou qu'une prise en charge répétée aux urgences.
Cette mesure s'inscrirait dans la politique de réduction des risques lancée au milieu des années 1980. Où en est-on ?
Depuis plusieurs années, cette politique est au point mort. Aussi, nous avons été plusieurs à rédiger une charte intitulée "Pour une autre politique des addictions", mise en ligne en juillet. Nous devons redonner un nouveau souffle à cette politique de réduction des risques. Il faut remplacer cette idée de lutte contre la drogue par une vraie politique de santé publique. A terme, on pourrait imaginer des états généraux des addictions où on réfléchirait à une politique adaptée pour chaque produit.
Marc Valleur, psychiatre, explique pourquoi de tels lieux seraient utiles.
Propos recueillis par Caroline Piquet (Le Monde, 1er septembre 2012)
La ministre des affaires sociales et de la santé, Marisol Touraine, a annoncé jeudi 30 août sur LCI que les conditions seraient "assez rapidement" réunies pour des expérimentations de salles d'injection de drogue. Cette déclaration fait écho au débat relancé mercredi par Jean-Marie Le Guen, adjoint PS au maire de Paris, qui avait demandé au gouvernement de légaliser les "salles de shoot" afin d'améliorer le suivi des toxicomanes.
Plusieurs responsables de l'UMP se sont montrés hostiles à cette proposition, à l'image de la députée européenne Rachida Dati, qui a évoqué une "mesure dangereuse et irresponsable". Un rapport collectif de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) publié en 2010 avait pourtant souligné les effets positifs de ces salles et poussé Roselyne Bachelot, alors ministre de la santé, à les expérimenter. Le docteur Marc Valleur, psychiatre et médecin chef du centre médical Marmottan à Paris, explique les raisons pour lesquelles il est favorable à l'ouverture de ces salles.
Que pensez-vous du débat lancé par Jean-Marie Le Guen ?
Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr. Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l'édition abonnés
Je regrette que le débat soit tout de suite très politisé et présenté de manière très simpliste et caricaturale. Il ne s'agit pas de sécuriser la consommation de jouisseurs mondains mais bien de prendre en charge des gens malheureux qui souffrent et qui s'abrutissent seuls dans la rue à coup d'injections. Personne ne se réfère à l'expertise collective de l'Inserm et aucun ne s'interroge sur les expériences de nos pays voisins. Les Allemands ont des centres d'injection et ils ne sont pas pour autant babas cool, gauchistes et laxistes.
Pourquoi le sujet fait-il autant polémique en France ?
Tous les pays qui ont mis en place ce dispositif ont eu besoin d'en débattre. Mais dès qu'on parle de drogues en France, on assiste à des réactions passionnelles. On ne doit surtout pas en parler. Il y a cette idée qu'il faut laisser mourir les toxicomanes. Les gens s'imaginent à tort que ces centres vont augmenter l'usage des drogues. Cette réticence se cristallise autour de la loi de 1970 qui dit que tout usage de drogue est passible d'un an de prison. Cette législation extrêmement dure et catégorique symbolise cette guerre menée contre la drogue et bloque la réflexion sur la prise en charge de la toxicomanie.
Quel est le rôle des centres d'injection supervisés ?
Ce sont des lieux où l'on accueille des toxicomanes marginalisés, très précaires et souvent sans domicile. Dans ces structures, des médecins, infirmiers ou éducateurs avertis supervisent leur consommation en vérifiant qu'il n'y ait pas de surdosage pouvant entraîner des accidents de type overdose. Ces rencontres permettent de leur apporter des informations d'hygiène et de prévention, puis d'être orientés vers des circuits de soins. C'est un lieu où ils pourront discuter et se faire accompagner. Il faut savoir que ces personnes se font des injections dans des squats, des sous-sols, des toilettes. Très souvent, ils le font dans de mauvaises conditions, en moins de trois-quatre minutes et sans se désinfecter. Ces centres constituent donc une première étape pour les sortir de la rue.
Quels sont les effets bénéfiques de ces centres ?
L'expertise collective de l'Inserm qui regroupe plusieurs évaluations effectuées sur des centres d'injection existant à l'étranger a montré l'impact positif de ces salles sur la morbidité et la mortalité liées aux overdoses. Ces études ont aussi prouvé que ces centres entraînaient une baisse de nuisance pour les riverains et canalisaient les toxicomanes. Grâce à ces dispositifs, ils zonent moins dans les quartiers et laissent moins de seringues sur la voie publique. Il est vrai qu'un tel centre peut être coûteux mais cela revient moins cher qu'un centre de soins ou qu'une prise en charge répétée aux urgences.
Cette mesure s'inscrirait dans la politique de réduction des risques lancée au milieu des années 1980. Où en est-on ?
Depuis plusieurs années, cette politique est au point mort. Aussi, nous avons été plusieurs à rédiger une charte intitulée "Pour une autre politique des addictions", mise en ligne en juillet. Nous devons redonner un nouveau souffle à cette politique de réduction des risques. Il faut remplacer cette idée de lutte contre la drogue par une vraie politique de santé publique. A terme, on pourrait imaginer des états généraux des addictions où on réfléchirait à une politique adaptée pour chaque produit.
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Légalisation du cannabis
Neo, tu veux dire que tu es pour l'installation de salles de shoot et contre la dépénalisation du cannabis ?


Hippy73- Messages : 349
Date d'inscription : 19/08/2011
Localisation : Savoie
Re: Légalisation du cannabis
Pierre Michel Zipstein, 57 ans, de Carlucet (Lot) est un militant connu de la dépénalisation du cannabis. Il est poursuivi pour avoir cultivé 29 plants chez lui. Or, depuis 2009, de recours en recours, il essaye de passer devant les Assises (et non en correctionnelle), comme le prévoit normalement la loi et où il risque jusqu'à 20 ans de réclusion, tout ceci afin de démontrer l'absurdité de la situation ...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Légalisation du cannabis
@ Hippy73, je n'ai pas d'opinion bien tranchée sur la question de la légalisation du cannabis. Je ne suis pas moi-même consommateur.
En revanche, il y a une urgence sanitaire (et sociale) à ouvrir des salles de shoot pour les héroïnomanes !
En revanche, il y a une urgence sanitaire (et sociale) à ouvrir des salles de shoot pour les héroïnomanes !
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Légalisation du cannabis
TDME Légalisation (Terriens décidés à militer pour l'écologie, pour en finir avec l'hypocrisie politique) est un site qui milite pour la légalisation du cannabis :
http://tdme.free.fr/
http://tdme.free.fr/
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Légalisation du cannabis
"Cannabis, l'herbe à nigauds", "Le QI en fumée", ce sont les titres des articles parus dans la presse et qui reviennent sur la vaste étude néo-zélandaise qui démontre que la consommation précoce et prolongée du cannabis peut entraîner une baisse significative et irréversibledu quotien intellectuel.
D'autre part, l'addictologue Amine Benyamina avait déjà pointé en 2009 dans son livre "Addiction au cannabis" (Médecine-Sciences, Flammarion) que la consommation aiguë ou chronique était corrélée aux pathologies mentales, notamment les psychoses et la schizophrénie.
D'autre part, l'addictologue Amine Benyamina avait déjà pointé en 2009 dans son livre "Addiction au cannabis" (Médecine-Sciences, Flammarion) que la consommation aiguë ou chronique était corrélée aux pathologies mentales, notamment les psychoses et la schizophrénie.
Re: Légalisation du cannabis
Oui, mais d'autres spécialistes démontrent l'inocuité du cannabis (consommé de façon raisonnable). On dirait une campagne qui tombe à point nommé pour différer la légalisation !
Crumby- Messages : 14
Date d'inscription : 06/09/2012
Re: Légalisation du cannabis
Jean-Luc a écrit:la vaste étude néo-zélandaise qui démontre que la consommation précoce et prolongée du cannabis peut entraîner une baisse significative et irréversibledu quotien intellectuel.
Mmm...Pour la télévision, il est inutile de le démontrer, je pense....
Re: Légalisation du cannabis


















Un homme de 60 ans, ancien commerçant ambulant, abritait 5000 m² de plants de cannabis. Dans le village de Chamagnieu, en Isère, à vingt kilomètres de Bourgoin-Jallieu, 502 plants, dont certains dépassaient trois mètres de hauteur, étaient cultivés sur 100 mètres de long et 50 mètres de large et alimentés en eau par un important système d'arrosage.
"Une forte odeur de cannabis imprégnait l'air sur une centaine de mètre à la ronde" précise le commandant de la compagnie de gendarmerie de Bourgoin-Jallieu.
L'homme risque dix ans de prison.


















neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Légalisation du cannabis
Quand ils en ont parlé sur france infos, ils ont dit que c'était juste parce que certains plans montaient assez hauts que les gendarmes s'en sont apperçu.
Re: Légalisation du cannabis
En 1971, Nino Ferrer sortait ce titre "Cannabis"...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Légalisation du cannabis
Marisol Touraine a confirmé que les premières salles de shoot devaient ouvrir avant la fin de l'année 2012
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Page 2 sur 6 • 1, 2, 3, 4, 5, 6
Page 2 sur 6
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum