Littérature beatnik
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Re: Littérature beatnik
hipnik a écrit:neo-codion a écrit:Deux livres beatniks :
Alexandre Mathis : LSD 67
(éd. Serge Safran, 2013)
le début des beatniks dans le Quartier Latin qui en devient le lieu de rassemblement.
Néo, je te remercie de m'avoir indiqué cet auteur. Je viens de lire ce livre : c'est vraiment une mine pour saisir et comprendre cette époque, avec le remplacement des beatniks par les hippies ! Beaucoup de références. Une véritable bible ! Un grand merci !
De rien ! Ce livre m'avait beaucoup plu, on dirait des pages du Vidal !!
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Littérature beatnik
Je l'ai commandé. Il ne semble pas facile à se procurer, beaucoup d'attente pour le recevoir.
Doctor Sex- Messages : 499
Date d'inscription : 14/07/2012
Age : 45
Localisation : Vallée de Gouédic
Re: Littérature beatnik
Substances psychotropes, l'amour de l'auteur pour le septième art, l'époque... ce livre avait tout pour me plaire !
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Jacques Pautard
Né en 1945, Jacques Pautard est le fils naturel d'un soldat noir de la Deuxième Guerre Mondiale et d’une paysanne de Haute-Saône. Élevé en familles d'accueil, centres d’apprentissage et maisons de correction, puis porté par la vague de contestation des années pré et post-1968, il a vécu une vie de marginal et d’autodidacte. Il s’est forgé ainsi une expérience de vie et un champ de réflexion singuliers et considérables. D’une force et d’une ampleur, qui nous semblent uniques dans la littérature française d’aujourd’hui, Grand chœur vide des miroirs est son premier livre de poésie.
Dans sa préface au Journal du réel gravé sur un bâton, de Michel Jourdan, Yves Bonnefoy écrivait : « Une dimension manque à la poésie française. Et c’est pourquoi je trouve de l’importance à ce qu’écrit Michel Jourdan, et voudrais contribuer à attirer l’attention sur son œuvre où un possible s’ébauche. » Beatnik impénitent qui a passé sa vie sur les routes en quête d’une sagesse peu conventionnelle, Pautard est de la même famille que Jourdan. Et peut-être ce Grand chœur vide des miroirs est l’un des textes qui évoque le mieux en français, dans sa liberté souveraine, la grande poésie de la beat generation américaine.
Dans sa préface au Journal du réel gravé sur un bâton, de Michel Jourdan, Yves Bonnefoy écrivait : « Une dimension manque à la poésie française. Et c’est pourquoi je trouve de l’importance à ce qu’écrit Michel Jourdan, et voudrais contribuer à attirer l’attention sur son œuvre où un possible s’ébauche. » Beatnik impénitent qui a passé sa vie sur les routes en quête d’une sagesse peu conventionnelle, Pautard est de la même famille que Jourdan. Et peut-être ce Grand chœur vide des miroirs est l’un des textes qui évoque le mieux en français, dans sa liberté souveraine, la grande poésie de la beat generation américaine.
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Ron Whitehead
Ron Whitehead, poète beatnik, affirme :
"Au cours de la prochaine décennie la Beat Generation sera reconnue comme le groupe le plus important de poètes et d’écrivains de l’histoire de l’Amérique. Les Beats ont donné naissance à de nouvelles générations, à de nouvelles énergies qui se réveillent à la prise de conscience !"
t
http://levurelitteraire.com/ron-whitehead-5/
"Au cours de la prochaine décennie la Beat Generation sera reconnue comme le groupe le plus important de poètes et d’écrivains de l’histoire de l’Amérique. Les Beats ont donné naissance à de nouvelles générations, à de nouvelles énergies qui se réveillent à la prise de conscience !"
t
http://levurelitteraire.com/ron-whitehead-5/
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Littérature beatnik
Ron Whitehead : I Will Not Bow Down (lecture publique)
https://m.youtube.com/watch?v=yrrenQofYPc
https://m.youtube.com/watch?v=yrrenQofYPc
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Littérature beatnik
Et encore Ron Whitehead à propos d'Orwell et d'autres :
RW : – Un mentor ! James Joyce, le Roi du Modernisme, disait que l’idée du héros n’était qu’un mensonge sacré, que les forces motivantes principales sont la passion et la compassion. Pas plus tard qu’en 1984, les gens se moquaient de George Orwell. Aujourd’hui, alors que nous habitons finalement dans un monde orwellien, pouvons-nous nous rappeler de la passion et la compassion ? Ce rire ironique et satirique postmoderne, ce jeu-mort-en-vie a-t-il tué le sperme et l’ovule? Y-a-t-il encore un endroit meilleur qu’ici ? Où ? Il ne faut pas s’étonner que les jeunes d’aujourd’hui aient adopté Jack Kerouac, Allen Ginsberg, William S. Burroughs, Herbert Huncke, Gregory Corso, Neal Cassidy, Lawrence Ferlinghetti, Amiri Baraka, Robert Creeley, David Amram, Diane di Prima, Ed Sanders, Anne Waldman, Bob Dylan…
RD : – Ron Whitehead et tous les autres…
RW : – …de la Beat Generation et d’autres poètes semblables, écrivains, artistes, musiciens, photographes, cinéastes, tout comme leurs ancêtres inspirants, affirmatifs de la vie et antinomiens. Ce sont des gens qui ont résisté et qui résistent encore à TOUTE FORME DE POUVOIR, de droit, de force irraisonnée, et qui ont regardé ces formes du pouvoir dans les yeux et qui leur ont dit NON, NON, je ne suis pas d’accord avec vous et je vous dis pourquoi. Et ils ont dit ces paroles, pas pour l’argent ou pour la gloire, mais par les convictions les plus profondes de la vie, par la croyance que nous, chacun de nous, peu importe notre couleur de peau, notre situation économique, nos préférences politiques, religieuses et sexuelles, chacun d’entre nous a le droit de vivre et de rêver !
Source : http://levurelitteraire.com/ron-whitehead-5/
RW : – Un mentor ! James Joyce, le Roi du Modernisme, disait que l’idée du héros n’était qu’un mensonge sacré, que les forces motivantes principales sont la passion et la compassion. Pas plus tard qu’en 1984, les gens se moquaient de George Orwell. Aujourd’hui, alors que nous habitons finalement dans un monde orwellien, pouvons-nous nous rappeler de la passion et la compassion ? Ce rire ironique et satirique postmoderne, ce jeu-mort-en-vie a-t-il tué le sperme et l’ovule? Y-a-t-il encore un endroit meilleur qu’ici ? Où ? Il ne faut pas s’étonner que les jeunes d’aujourd’hui aient adopté Jack Kerouac, Allen Ginsberg, William S. Burroughs, Herbert Huncke, Gregory Corso, Neal Cassidy, Lawrence Ferlinghetti, Amiri Baraka, Robert Creeley, David Amram, Diane di Prima, Ed Sanders, Anne Waldman, Bob Dylan…
RD : – Ron Whitehead et tous les autres…
RW : – …de la Beat Generation et d’autres poètes semblables, écrivains, artistes, musiciens, photographes, cinéastes, tout comme leurs ancêtres inspirants, affirmatifs de la vie et antinomiens. Ce sont des gens qui ont résisté et qui résistent encore à TOUTE FORME DE POUVOIR, de droit, de force irraisonnée, et qui ont regardé ces formes du pouvoir dans les yeux et qui leur ont dit NON, NON, je ne suis pas d’accord avec vous et je vous dis pourquoi. Et ils ont dit ces paroles, pas pour l’argent ou pour la gloire, mais par les convictions les plus profondes de la vie, par la croyance que nous, chacun de nous, peu importe notre couleur de peau, notre situation économique, nos préférences politiques, religieuses et sexuelles, chacun d’entre nous a le droit de vivre et de rêver !
Source : http://levurelitteraire.com/ron-whitehead-5/
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Littérature beatnik
Paru en 2000 chez Denoel
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Littérature beatnik
Ce poème est intitulé Miss Hippie mais je trouve qu'il est d'inspiration beatnik. Qu'en penses-tu hipnik ?
MISS HIPPIE
Xavier Ramillon
Miss hippie
Ma nostalgie
Dans ma mémoire acidulée
Vêtue de rêves impudiques
tu nageais
Dans la fluidité
d'un fleuve de fumées exotiques
Entre st Ouen & st Germain
Katmandou scintillait
le jazz envoûté
Explosaient tes chakras
Chorus
résonnance
Vibrations
La tête en trip
Le truc en trop
T'étais beatnik
mais pas trop
Dans l'Eden psychédélique
t'avais le Zen au zénith
Miles Davis & Frank Zappa
Illuminaient tes appâts
Cramée d'amour au napalm
Tu bombardais tes larmes au Vietnam
Ginsberg en assonances
psalmodiait des plaintes insanes
Freedom cris d'hommes
Tu manifestais
L'Impudeur de tes désirs
Sex & cythares
tu ondulais en résistance
dans la transe du pavot
Sur les pistes du mandala
L'esprit en apesanteur
comme un papillon avide
tu gobais les étoiles
et sautais les barrières
sans pouvoir les détruire
City light book & Maspero
En sac de couchage
Avec Cassady
Tu partais en voyage
Miss hippie
Ma nostalgie
Ton tipi Tes utopies
Sous la pluie
A Woodstock les beatniks ont fleuri
T'es sortie de ta cave enfumée
Il tombait des cordes de Gibson exaltées
Sous les Ondes pétillantes
hachées menu au LSD
Les amphétamines en bouquets
Excitaient ton pistil
On s'enivrait de sperme & de cyprine
De tes seins d'albâtre
Les gouttes d'eau brunâtre
Nourrissaient nos phantasmes
La musique de ton sexe
avait l'odeur
Du blues en Louisiane
Comme ils t'ont fait des beaux enfants
Ces poètes dissidents
l'île de Whight en naufragée
où la mer s'est dessalée
les hallucinogènes en confetti
comme le virus de la rengaine
le vaccin contre la haine
Jim Morisson à la veillée
Quand la nouvelle Ève
préférait les oranges écarlates
Aux quartiers de lune sauvage
T'es devenue punk aiguisée
T'as coupé la corde lisse
Des cimaises encrassées
Où l'on te suspendait
Et te revoilà
Prête à te déhancher
Au son perdu des délires acoustique
Miss hippie
Ma nostalgie
Les gourous ont perdu leurs feuilles
C'est l'automne des guitares sèches
le temps s'essouffle
comme un bandonéon sans partition
L'exotisme en déglingue
T'as changé de fringues
Ta puberté au vide grenier
Exit tes fripes d'antan
tes manteaux afghans
Bouffés aux mythes
De profondis …Grateful dead…
Violence intolérance
T'as tâté du gothik
New wave en répugnance
lambeaux de photos de vieux journaux
Plus éphémère qu' Arthur Rimbaud
Ta jeunesse
En voyage express
est sortie des rails
tes vieux potes à présent
font des cascades
dans l'eau delà
Ceux qui t'aimaient
Qui jadis
se noyaient dans la paix
ceux qui chantaient Dylan et joplin
voient fleurir les champs de mines
Ils soignent leurs cancers
Au flash du rayon vert
Toi, tu l'as bu....jusqu'à la lie
la ciguë des accords exigus
une seringue d'espoir
plantée dans la mémoire
Pink flowd & Weather report
en apnée dans ta baignoire
fabriquent des bulles d'air égaré
tu manifestes en désordre
pour que dure la nature
Pour qu'existent encore
des sauvages dans les rues
Dans quel bac feras-tu
le tri des déchets de ta vie ?
un recyclage en héritage
pour tes enfants pas sages
Parfum d'amitié évaporé
Giclées d'images
Toutes ces paroles
Toutes ces musiques…
les siècles ne durent pas si longtemps
finalement
On change de règne & de décor
Punk & rap
Parfument ton présent
& street art a transplanté ton coeur
au jardin d'hiver interieur
t'arroses encore des sables émouvants
des oasis affriolantes
des débris d'azur en satellite
Les divines Gueulantes
Toujours présentes
nourrissent la bohème qui te hante
L'oubli des contraintes
L'angoisse que l'on flingue
La morale qu'on dézingue
Les rêves en Hibernation
Derrière la porte blindée
des nuages de l'esprit
s'en vient roder le temps des acouphènes
Il va neiger sur tes cheveux
Donne-moi la main si tu veux
MISS HIPPIE
Xavier Ramillon
Miss hippie
Ma nostalgie
Dans ma mémoire acidulée
Vêtue de rêves impudiques
tu nageais
Dans la fluidité
d'un fleuve de fumées exotiques
Entre st Ouen & st Germain
Katmandou scintillait
le jazz envoûté
Explosaient tes chakras
Chorus
résonnance
Vibrations
La tête en trip
Le truc en trop
T'étais beatnik
mais pas trop
Dans l'Eden psychédélique
t'avais le Zen au zénith
Miles Davis & Frank Zappa
Illuminaient tes appâts
Cramée d'amour au napalm
Tu bombardais tes larmes au Vietnam
Ginsberg en assonances
psalmodiait des plaintes insanes
Freedom cris d'hommes
Tu manifestais
L'Impudeur de tes désirs
Sex & cythares
tu ondulais en résistance
dans la transe du pavot
Sur les pistes du mandala
L'esprit en apesanteur
comme un papillon avide
tu gobais les étoiles
et sautais les barrières
sans pouvoir les détruire
City light book & Maspero
En sac de couchage
Avec Cassady
Tu partais en voyage
Miss hippie
Ma nostalgie
Ton tipi Tes utopies
Sous la pluie
A Woodstock les beatniks ont fleuri
T'es sortie de ta cave enfumée
Il tombait des cordes de Gibson exaltées
Sous les Ondes pétillantes
hachées menu au LSD
Les amphétamines en bouquets
Excitaient ton pistil
On s'enivrait de sperme & de cyprine
De tes seins d'albâtre
Les gouttes d'eau brunâtre
Nourrissaient nos phantasmes
La musique de ton sexe
avait l'odeur
Du blues en Louisiane
Comme ils t'ont fait des beaux enfants
Ces poètes dissidents
l'île de Whight en naufragée
où la mer s'est dessalée
les hallucinogènes en confetti
comme le virus de la rengaine
le vaccin contre la haine
Jim Morisson à la veillée
Quand la nouvelle Ève
préférait les oranges écarlates
Aux quartiers de lune sauvage
T'es devenue punk aiguisée
T'as coupé la corde lisse
Des cimaises encrassées
Où l'on te suspendait
Et te revoilà
Prête à te déhancher
Au son perdu des délires acoustique
Miss hippie
Ma nostalgie
Les gourous ont perdu leurs feuilles
C'est l'automne des guitares sèches
le temps s'essouffle
comme un bandonéon sans partition
L'exotisme en déglingue
T'as changé de fringues
Ta puberté au vide grenier
Exit tes fripes d'antan
tes manteaux afghans
Bouffés aux mythes
De profondis …Grateful dead…
Violence intolérance
T'as tâté du gothik
New wave en répugnance
lambeaux de photos de vieux journaux
Plus éphémère qu' Arthur Rimbaud
Ta jeunesse
En voyage express
est sortie des rails
tes vieux potes à présent
font des cascades
dans l'eau delà
Ceux qui t'aimaient
Qui jadis
se noyaient dans la paix
ceux qui chantaient Dylan et joplin
voient fleurir les champs de mines
Ils soignent leurs cancers
Au flash du rayon vert
Toi, tu l'as bu....jusqu'à la lie
la ciguë des accords exigus
une seringue d'espoir
plantée dans la mémoire
Pink flowd & Weather report
en apnée dans ta baignoire
fabriquent des bulles d'air égaré
tu manifestes en désordre
pour que dure la nature
Pour qu'existent encore
des sauvages dans les rues
Dans quel bac feras-tu
le tri des déchets de ta vie ?
un recyclage en héritage
pour tes enfants pas sages
Parfum d'amitié évaporé
Giclées d'images
Toutes ces paroles
Toutes ces musiques…
les siècles ne durent pas si longtemps
finalement
On change de règne & de décor
Punk & rap
Parfument ton présent
& street art a transplanté ton coeur
au jardin d'hiver interieur
t'arroses encore des sables émouvants
des oasis affriolantes
des débris d'azur en satellite
Les divines Gueulantes
Toujours présentes
nourrissent la bohème qui te hante
L'oubli des contraintes
L'angoisse que l'on flingue
La morale qu'on dézingue
Les rêves en Hibernation
Derrière la porte blindée
des nuages de l'esprit
s'en vient roder le temps des acouphènes
Il va neiger sur tes cheveux
Donne-moi la main si tu veux
Durga- Admin
- Messages : 2792
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Littérature beatnik
Je ne connaissais pas. Si le poème évoque l'époque des hippies, le style "déclamatoire" fait effectivement penser aux beatniks. Intéressant, merci.
http://www.universlam-editions.com/portraits/xavier-ramillon/
http://www.universlam-editions.com/portraits/xavier-ramillon/
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Littérature beatnik
C'est sûr.
Je suppose que Durga a dû faire un copié-collé... Ou que l'interligne fait partie de la structure même du poème...? Dans les écrits de la Beat Generation on trouve parfois ce genre de choses, de présentation...
Je suppose que Durga a dû faire un copié-collé... Ou que l'interligne fait partie de la structure même du poème...? Dans les écrits de la Beat Generation on trouve parfois ce genre de choses, de présentation...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Littérature beatnik
Dis-moi Marie-Catherine, as tu vraiment lu ce poème avant de le poster ?
Dr_Natural- Messages : 1663
Date d'inscription : 02/08/2011
Re: Littérature beatnik
Je ne me suis pas posée la question. Je ne lis jamais bien sûr ce que je poste !
Durga- Admin
- Messages : 2792
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Littérature beatnik
Je me reconnais bien dans ces poèmes même si je ne suis pas une miss... ça tape bien dans le mille de ce que nous avons traversé...
Merci Durga, je ne connaissais pas non plus
Merci Durga, je ne connaissais pas non plus
Re: Littérature beatnik
Je trouve que le poème peut effectivement correspondre tout à fait à la génération "hippie", à ce qu'elle a pu vivre et à sa jeunesse aujourd'hui enfuit...
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 44
Re: Littérature beatnik
Je ne connais pas ce livre, son titre est quand même évocateur, je ne sais pas ce dont il s'agit...
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Littérature beatnik
Le numéro 2 du Magazine littéraire en 1966 avec Allen Ginsberg en couverture :
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Littérature beatnik
J’avais acheté le numéro 157 du Magazine Littéraire de février 1980 consacré à la Beat Generation. J’aimais bien les couvertures de Raymond Moretti, et la haute tenue de cette revue. Je ne savais pas qu’elle avait consacré un numéro aux écrivains beatniks dès 1966 !
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
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