société de consommation
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société de consommation
"Je pense que le consumérisme manipule et violente les corps ni plus ni moins que le nazisme(...) Le fascisme consumériste est pire que le classique parce que le clérico-fascisme n'a pas transformé les italiens de l'intérieur. C'était un état totalitaire mais pas totalisant."
Extrait de l'avant-dernière interview de Pier-Paolo Pasolini, datant du 28 octobre 1975, trois jours avant son assassinat...
Extrait de l'avant-dernière interview de Pier-Paolo Pasolini, datant du 28 octobre 1975, trois jours avant son assassinat...
creme_de_marron- Messages : 595
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: société de consommation
Prophétique…
Les corps…Il faut les épiler, les farcir de bouts de métal…S’en servir pour le fun mais ne plus vivre dedans…
On vit dans son cerveau.
Mais sait on seulement encore ce que c’est de vivre ?
Coment le sauraient-ils ?
Ils croient s’appartenir. Ils appartiennent aux fantasmes qu’on leur impose.
Ils croient se connaître. Et ne font que choisir les éléments de leur profil dans le menu déroulant du spectacle.
Qui sait encore que s’exciter n’est pas jouir ?
Et que faire, maintenant que le Nazisme Nouveau retire son gros nez de clown Mac Do après trnete ans de gestation ?
Les corps…Il faut les épiler, les farcir de bouts de métal…S’en servir pour le fun mais ne plus vivre dedans…
On vit dans son cerveau.
Mais sait on seulement encore ce que c’est de vivre ?
Coment le sauraient-ils ?
Ils croient s’appartenir. Ils appartiennent aux fantasmes qu’on leur impose.
Ils croient se connaître. Et ne font que choisir les éléments de leur profil dans le menu déroulant du spectacle.
Qui sait encore que s’exciter n’est pas jouir ?
Et que faire, maintenant que le Nazisme Nouveau retire son gros nez de clown Mac Do après trnete ans de gestation ?
Re: société de consommation
Ardwenn, entièrement d'accord avec toi. A mon avis beaucoup des membres "historiques" de 1973 doivent se reconnaître dans ce que tu dis ou être en phase. Tu devrais intervenir plus souvent !
Re: société de consommation
J’enrage…
C’est dans la vie de tous les jours que je voudrais intervenir…
Le monde est fait d’individus connectés à des machines – portables, ipodes, smartephones et autres anglaiseries mécanistes- individus enfermés dans le cocon de leurs « connexions PRIVéES «
Incapables de voir le jour se lever ailleurs que sur leur écran.
Inhibant toute possibilité de contact direct.
Perdus dans le confort de leurs incertitudes programmées…..
Chaque message est un caillou lancé dans l’océan…
On sait que « quelque part » il est lu…
Mais, ici et maintenant, c’est la solitude…comme jamais auparavant dans l’Histoire du monde
C’est dans la vie de tous les jours que je voudrais intervenir…
Le monde est fait d’individus connectés à des machines – portables, ipodes, smartephones et autres anglaiseries mécanistes- individus enfermés dans le cocon de leurs « connexions PRIVéES «
Incapables de voir le jour se lever ailleurs que sur leur écran.
Inhibant toute possibilité de contact direct.
Perdus dans le confort de leurs incertitudes programmées…..
Chaque message est un caillou lancé dans l’océan…
On sait que « quelque part » il est lu…
Mais, ici et maintenant, c’est la solitude…comme jamais auparavant dans l’Histoire du monde
Re: société de consommation
@ Ardwenn, oui, il y aurait beaucoup de choses à dire sur tout ça, la haine du corps qui s'exprime aujourd'hui dans tout et à travers tout ce qu'on lui fait subir, y compris par le "sexy" (ce que tu appelles le "sex" ?)
Il me semble que les hippies prônaient en leur temps un retour au naturel, à la simplicité, à la beauté naturelle des corps et de la sexualité... Tout ceci est très loin... C'est la grande confusion (entretenue !)
Il me semble que les hippies prônaient en leur temps un retour au naturel, à la simplicité, à la beauté naturelle des corps et de la sexualité... Tout ceci est très loin... C'est la grande confusion (entretenue !)
creme_de_marron- Messages : 595
Date d'inscription : 01/08/2011
Saint Valentin
Rappelez-vous : le 14 février, faites l'amour plutôt que les magasins !
Hippy73- Messages : 349
Date d'inscription : 19/08/2011
Localisation : Savoie
Re: société de consommation
Sur le site Basta ! un article très intéressant du philosophe Bernard Stiegler, disciple de Derrida, sur "comment le marketing détruit tous les outils du savoir."
http://www.bastamag.net/article2202.html
http://www.bastamag.net/article2202.html
creme_de_marron- Messages : 595
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: société de consommation
Un livre à lire : Comment j'ai arrêté de CONsommer par Frédéric Mars éditions du Moment 250 p 18,50 euros
L'"enfer marchand"
LE MONDE | 19.06.2012
Par Emilie Deniau
Dans l'esprit du livre de référence des altermondialistes No Logo. La tyrannie des marques, de Naomi Klein ( Actes Sud, 2001), le journal de bord de Frédéric Mars nous restitue son expérience tout en exposant une réflexion sur la boulimie de consommation et en nous faisant part de subterfuges pour la combattre.
L'auteur n'a rien d'un "antisystème", il représente le citadin quadra : coquet, à la pointe de la technologie et hédoniste à souhait. C'est lorsqu'il doit ranger sa cave que Frédéric Mars réalise qu'il possède une accumulation d'objets en tout genre dont l'usage aura été éphémère et superflu. Ce déclic le conduira à écrire son livre qui montre, sans verser dans le moralisme, les dérives concernant sa manière de consommer, semblable à celle de milliers de Français en proie au gâchis alimentaire, à la déferlante des dépenses pour les fêtes annuelles, au non-respect du tri des déchets...
Peu à peu, il dresse un tableau des alternatives permettant de remédier à ces phénomènes et de réaliser d'importantes économies. Il explique que "tout ou presque peut se trouver en dehors des réseaux de distribution dominants" et l'atteste par la confection de shampooing à base d'oeuf ou encore par la création d'un potager. Frédéric Mars s'intéresse aussi aux systèmes d'échanges locaux (SEL) et rejoint les quelque 25 000 membres en France. Troquant deux heures de cours de français contre deux cakes au chocolat, il reconnaît les valeurs de solidarité et de convivialité des SEL. L'auteur s'inscrit aussi sur le site Internet Freecycle, association d'entraide soucieuse de l'écologie fonctionnant sur le don d'objets. Enfin, s'inspirant de la classification hiérarchique des besoins humains par le sociologue Abraham Maslow, en 1943 - approche très utilisée dans le marketing -, Frédéric Mars met au point un tableau ingénieux, facilement utilisable, où se mêlent critères de nécessité et de prix ; ce qui lui permet d'éviter certains achats accessoires.
Tout au long du livre, Frédéric Mars lutte contre des problématiques d'ordre sociétal. A commencer par la marchandisation de la culture comme facteur d'inégalités, ce qui l'incite à traquer expositions et concerts gratuits. Il renonce aussi aux soldes, jugeant que le plaisir de réaliser "la bonne affaire" l'emporte sur la nécessité même de l'article acheté. L'auteur cherche ainsi à analyser l'amalgame que le marketing suscite entre les concepts de désir et de besoin. Le surplus de dépenses obligatoires (impôts, cotisations, TVA) qu'il assimile à du racket le pousse à restituer ses cartes de crédit au grand dam de sa banquière. Sans oublier l'américanisation des modes de vie.
L'autre fil narratif de ce récit autobiographique relate les réactions auxquelles l'auteur se heurte en raison de son refus de la société "acquisitive". En effet, cette expérience de "déconsommation", Frédéric Mars la vit avec sa femme, dépensière, et son fils de 7 ans exposé aux "rouleaux compresseurs du marketing mondialisé : Disney, McDo et Nintendo". Bien que cette entreprise laborieuse ait parfois soumis le couple à rude épreuve et provoqué les caprices de leur enfant, le trio en est sorti plus uni. A l'inverse, leurs amis s'éloignent d'eux en raison de leur marginalisation. L'être serait-il donc déterminé par l'avoir ? L'auteur en est convaincu.
Les péripéties de cette lutte "contre l'enfer marchand" racontées par Frédéric Mars sur un ton décalé et drôle suscitent une véritable remise en question de la bêtise d'un grand nombre de nos comportements d'achat. Bien sûr, l'envie de "déconsommer", ou du moins de s'orienter vers une "écoconsommation" après la lecture de ce livre, est immanquable, encore faut-il en avoir le courage.
Emilie Deniau
L'"enfer marchand"
LE MONDE | 19.06.2012
Par Emilie Deniau
Dans l'esprit du livre de référence des altermondialistes No Logo. La tyrannie des marques, de Naomi Klein ( Actes Sud, 2001), le journal de bord de Frédéric Mars nous restitue son expérience tout en exposant une réflexion sur la boulimie de consommation et en nous faisant part de subterfuges pour la combattre.
L'auteur n'a rien d'un "antisystème", il représente le citadin quadra : coquet, à la pointe de la technologie et hédoniste à souhait. C'est lorsqu'il doit ranger sa cave que Frédéric Mars réalise qu'il possède une accumulation d'objets en tout genre dont l'usage aura été éphémère et superflu. Ce déclic le conduira à écrire son livre qui montre, sans verser dans le moralisme, les dérives concernant sa manière de consommer, semblable à celle de milliers de Français en proie au gâchis alimentaire, à la déferlante des dépenses pour les fêtes annuelles, au non-respect du tri des déchets...
Peu à peu, il dresse un tableau des alternatives permettant de remédier à ces phénomènes et de réaliser d'importantes économies. Il explique que "tout ou presque peut se trouver en dehors des réseaux de distribution dominants" et l'atteste par la confection de shampooing à base d'oeuf ou encore par la création d'un potager. Frédéric Mars s'intéresse aussi aux systèmes d'échanges locaux (SEL) et rejoint les quelque 25 000 membres en France. Troquant deux heures de cours de français contre deux cakes au chocolat, il reconnaît les valeurs de solidarité et de convivialité des SEL. L'auteur s'inscrit aussi sur le site Internet Freecycle, association d'entraide soucieuse de l'écologie fonctionnant sur le don d'objets. Enfin, s'inspirant de la classification hiérarchique des besoins humains par le sociologue Abraham Maslow, en 1943 - approche très utilisée dans le marketing -, Frédéric Mars met au point un tableau ingénieux, facilement utilisable, où se mêlent critères de nécessité et de prix ; ce qui lui permet d'éviter certains achats accessoires.
Tout au long du livre, Frédéric Mars lutte contre des problématiques d'ordre sociétal. A commencer par la marchandisation de la culture comme facteur d'inégalités, ce qui l'incite à traquer expositions et concerts gratuits. Il renonce aussi aux soldes, jugeant que le plaisir de réaliser "la bonne affaire" l'emporte sur la nécessité même de l'article acheté. L'auteur cherche ainsi à analyser l'amalgame que le marketing suscite entre les concepts de désir et de besoin. Le surplus de dépenses obligatoires (impôts, cotisations, TVA) qu'il assimile à du racket le pousse à restituer ses cartes de crédit au grand dam de sa banquière. Sans oublier l'américanisation des modes de vie.
L'autre fil narratif de ce récit autobiographique relate les réactions auxquelles l'auteur se heurte en raison de son refus de la société "acquisitive". En effet, cette expérience de "déconsommation", Frédéric Mars la vit avec sa femme, dépensière, et son fils de 7 ans exposé aux "rouleaux compresseurs du marketing mondialisé : Disney, McDo et Nintendo". Bien que cette entreprise laborieuse ait parfois soumis le couple à rude épreuve et provoqué les caprices de leur enfant, le trio en est sorti plus uni. A l'inverse, leurs amis s'éloignent d'eux en raison de leur marginalisation. L'être serait-il donc déterminé par l'avoir ? L'auteur en est convaincu.
Les péripéties de cette lutte "contre l'enfer marchand" racontées par Frédéric Mars sur un ton décalé et drôle suscitent une véritable remise en question de la bêtise d'un grand nombre de nos comportements d'achat. Bien sûr, l'envie de "déconsommer", ou du moins de s'orienter vers une "écoconsommation" après la lecture de ce livre, est immanquable, encore faut-il en avoir le courage.
Emilie Deniau
creme_de_marron- Messages : 595
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: société de consommation
La DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) constate dans une enquête du 5 juillet 2012, que 54 % des supermarchés contrôlés présentaient des prix erronés lors du passage en caisse par rapport aux prix affichés en rayons et que 7 % des prix sont faux, le plus souvent en défaveur des clients !
Faut pas gâcher !
Des restaurants, un à Louviers (Eure), deux à Paris, commencent à faire payer aux clients une "amende" (de 2 à 5 euros) lorsque le plat commandé n'est pas terminé. La plupart du temps, il s'agit de restaurants avec la formule "à volonté". L'idée est de responsabiliser le client à ne pas prendre plus qu'il ne peut consommer. En moyenne 25% des assiettes finissent à la poubelle.
Re: société de consommation
creme_de_marron a écrit:"Je pense que le consumérisme manipule et violente les corps ni plus ni moins que le nazisme(...) Le fascisme consumériste est pire que le classique parce que le clérico-fascisme n'a pas transformé les italiens de l'intérieur. C'était un état totalitaire mais pas totalisant."
Extrait de l'avant-dernière interview de Pier-Paolo Pasolini, datant du 28 octobre 1975, trois jours avant son assassinat...
En homme de son temps, imprégné au moins partiellement de la fausse culture de son temps (celle des années de l'après-guerre), Pasolini utilise le terme "fasciste"de façon abusive, comme beaucoup, pour désigner toute chose, toute politique abhorrée. En ce sens, par exemple, on pourrait dire aujourd'hui, le féminisme est un fascisme !
Ça n'a rien à voir bien évidemment avec le fascisme historique, le vrai fascisme.
Né comme le surréalisme, le futurisme qui fut son terreau, et la revendication de la liberté sexuelle, dans les tranchées de 14-18, le fascisme fut traversé presque dès le départ par deux courants contradictoires et opposés qui ne cessèrent de la marche sur Rome à la République de Salo de s'opposer et de se combattre :
l'un, le fascisme des villes celui des universités, des intellectuels, des artistes (Marinetti, Paretto - le célèbre Paretto de la loi des 20/80 -, Pirandello, Gentile...) très antibourgeois, anti-capitaliste, non raciste (le racisme s'oppose au but même du fascisme qui, comme son terme même l'indique, est d'unir en faisceau), révolutionnaire et socialiste et d'autre part le fascisme agraire, celui des campagnes, des grands propriétaires, anti-intellectuel, anti-marxiste, capitaliste, conservateur, voire réactionnaire, dérivant peu à peu vers le racisme et impose au régime de prendre les premières mesures racistes en 1938, soit 18 ans après la prise du pouvoir !
Mussolini navigua constamment entre ces deux courants.
Après la guerre, le mot fasciste fut abondamment et abusivement utilisé pour désigner, vilipender, tout système qu'on voulait dénoncer et stigmatiser sans qu'il ait obligatoirement le moindre lien avec le fascisme historique ou son idéologie. Parler de fascisme pour définir l'impérialisme américain ou la politique américaine (profondément par essence individualiste, ce que le fascisme n'est jamais) par exemple est une aberration, un abus de langage et un non-sens.
mimi pinçon- Messages : 1127
Date d'inscription : 18/11/2011
Re: société de consommation
Hum, hum... Les choses ne sont pas aussi "simples".
Il y avait aussi le fascisme capitaliste des grands industriels des villes (Milan, Turin)
Mais d'accord avec toi sur l'utilisation aujourd'hui abusive du terme "fasciste".
Quand aux Etats-Unis, ils ont participé au coup d'Etat qui a renversé un gouvernement ouvertement fasciste, celui de Peron en Argentine, en 1955, pour le remplacer... par une dictature militaire.
Il y avait aussi le fascisme capitaliste des grands industriels des villes (Milan, Turin)
Mais d'accord avec toi sur l'utilisation aujourd'hui abusive du terme "fasciste".
Quand aux Etats-Unis, ils ont participé au coup d'Etat qui a renversé un gouvernement ouvertement fasciste, celui de Peron en Argentine, en 1955, pour le remplacer... par une dictature militaire.
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: société de consommation
Je ne vois pas trop ce que vos divagations ont à voir avec la société de consommation (le sujet du topic, je le rappelle) ni avec un forum "hippie" !!!
creme_de_marron- Messages : 595
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: société de consommation
Pour ma part, je suis favorable à la société de consommation mais pas à la société de sur-consommation.
Déjà, j'adore gagner de l'argent, légalement, pour ensuite le dépenser. J'aime le fait de passer devant un magasin de guitares, de voir une belle Stratocaster et me l'offrir avec l'argent que j'ai bien gagné. Je ne fais de mal à personne...
L'idée de décroissance, d'arrêter de consommer est à la fois utopiste, dangereuse et surtout bancale. Il faut dès lors mieux consommer.
Tout d'abord, je m'interdis le plus possible tout produit fabriqué en Chine, pays qui en plus d'être le plus gros pollueur mondial est sans égards pour les droits de l'homme.
Consommer OUI, mais sans abus. 2+1 gratuit, ok, mais je n'ai peut-être pas besoin de 2+1...
Déjà, j'adore gagner de l'argent, légalement, pour ensuite le dépenser. J'aime le fait de passer devant un magasin de guitares, de voir une belle Stratocaster et me l'offrir avec l'argent que j'ai bien gagné. Je ne fais de mal à personne...
L'idée de décroissance, d'arrêter de consommer est à la fois utopiste, dangereuse et surtout bancale. Il faut dès lors mieux consommer.
Tout d'abord, je m'interdis le plus possible tout produit fabriqué en Chine, pays qui en plus d'être le plus gros pollueur mondial est sans égards pour les droits de l'homme.
Consommer OUI, mais sans abus. 2+1 gratuit, ok, mais je n'ai peut-être pas besoin de 2+1...
Ladybug212- Messages : 23
Date d'inscription : 12/06/2012
Re: société de consommation
Vous avez une âme de laquais ?
ACHETEZ UN TELEPHONE PORTABLE
pour être sonné à toute heure et en tous lieux
ACHETEZ UN TELEPHONE PORTABLE
pour être sonné à toute heure et en tous lieux
Hippy73- Messages : 349
Date d'inscription : 19/08/2011
Localisation : Savoie
Re: société de consommation
Lui : ce que je ne pige pas c'est que tu mets du déodorant... puis du réodorant qui pue !
Elle : t'es bien un mec !
Elle : t'es bien un mec !
Hippy73- Messages : 349
Date d'inscription : 19/08/2011
Localisation : Savoie
Re: société de consommation
Les pubs que vous ne verrez plus jamais d'Annie Pastor aux éditions Hugo et Cie, 2012, 160 pages, 14,99 € recense les publicités des années 60 et 70 qu'on ne verra plus surtout parce que nous ne comprenons plus le second degré !
Re: société de consommation
A ce sujet, il y a ce lien : http://sebsauvage.net/rhaa/index.php?2012/09/24/08/38/19-pourquoi-est-ce-qu-il-faut-que-ca-pue-Hippy73 a écrit:Lui : ce que je ne pige pas c'est que tu mets du déodorant... puis du réodorant qui pue !
Elle : t'es bien un mec !
Re: société de consommation
Tellement vrai !
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: société de consommation
Le 24 novembre 2012, c'est la journée mondiale sans achat ! Cessez d'acheter pour fêter ce jour !
patchouli- Messages : 269
Date d'inscription : 13/08/2011
Age : 73
Localisation : Région lilloise
Re: société de consommation
Excellent ! Ou l'avant-veille ou le surlendemain !!
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 44
creme_de_marron- Messages : 595
Date d'inscription : 01/08/2011
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