Cinéma hippie
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Re: Cinéma hippie
Quelques films qui évoquent les hippies ou les beatniks ou leur époque...
Les stances à Sophie (1971) de Moshé Mizraki, d'après le roman de Christiane Rochefort, une jeune femme libérée fréquente des beatniks...
La fille d'un soldat ne pleure jamais (1999) de James Ivory, nostalgie des années 60 entre la France et les Etats-Unis, bercée par les chansons de l'époque
Point limite zero (1971) de Richard C Sarafian, course poursuite en forme de road movie très dynamique entre Denver et Frisco
Psych-out (1968) de Richard Rush, une jeune fugueuse entre les hippies, la musique psychédélique, et les drogues récréatives...
Taking off (1970) de Milos Forman, une adolescente de 15 ans quitte le domicile familial pour vivre avec un musicien hippie...
Sauve qui peut (la vie) (1980) de Jean-Luc Godard, la révolte contre la société qui broie les vies, ruine les rêves, tue les espoirs...
Angels hard as they come (1971) de Joe Viola, la chevauchée de motards violents et provocateurs
Big Boy (1966) de Coppola, l'apprentissage amoureux d'un adolescent
Lions love (1969) d'Agnès Varda, un trio de hippies à Hollywood suit l'actualité à la télé...
Les stances à Sophie (1971) de Moshé Mizraki, d'après le roman de Christiane Rochefort, une jeune femme libérée fréquente des beatniks...
La fille d'un soldat ne pleure jamais (1999) de James Ivory, nostalgie des années 60 entre la France et les Etats-Unis, bercée par les chansons de l'époque
Point limite zero (1971) de Richard C Sarafian, course poursuite en forme de road movie très dynamique entre Denver et Frisco
Psych-out (1968) de Richard Rush, une jeune fugueuse entre les hippies, la musique psychédélique, et les drogues récréatives...
Taking off (1970) de Milos Forman, une adolescente de 15 ans quitte le domicile familial pour vivre avec un musicien hippie...
Sauve qui peut (la vie) (1980) de Jean-Luc Godard, la révolte contre la société qui broie les vies, ruine les rêves, tue les espoirs...
Angels hard as they come (1971) de Joe Viola, la chevauchée de motards violents et provocateurs
Big Boy (1966) de Coppola, l'apprentissage amoureux d'un adolescent
Lions love (1969) d'Agnès Varda, un trio de hippies à Hollywood suit l'actualité à la télé...
Klondike- Messages : 522
Date d'inscription : 14/10/2011
Hiipiexploitation
On a appelé "hippiexploitation" ou "hippie exploitation films", les films qui ont surfé sur la vague "hippie" dans les années 1967-1969, voire 1970...
La plupart sont des films très défavorables aux hippies et sans grand intérêt autre que de donner un aperçu de tous les fantasmes qui pouvaient avoir cours à leur encontre, voyous, drogués, violeurs, meurtriers, satanistes, (l'ombre de Manson n'est jamais bien loin) films qui se veulent "pédagogiques" et alerter les parents des risques qu'encourent leurs enfants à fréquenter les hippies...
The hallucination generation (1967) de Edward Mann, un groupe de jeunes Américains en Espagne, sous l'emprise d'un gourou hippie meurtrier...
Riot on Sunset strip (1967) une jeune fille sous l'emprise de la drogue est violée par un groupe de hippies
Wild in the streets (1968) les hippies prennent le pouvoir aux Etats-Unis, et c'est plutôt violent !
I drink your blood (1969) un groupe de hippies zombies vampires assoiffés de sang humain sème la terreur dans un village. Inspiré directement de l'affaire Manson
The big Cub (1969) de Tito Davidson, un réquisitoire contre les drogues qui rendent fous et la contre-culture
The love-Ins(1967) de Arthur Dreyfus, film basé sur le personnage de Timothy Leary et sur le LSD
Deux films cependant différents qui tranchent un peu :
Psych Out (1968), musique psychédélique, hippies et LSD, avec Jack Nicholson
The Trip (1967) film culte de Roger Corman et Jack Nicholson
La plupart sont des films très défavorables aux hippies et sans grand intérêt autre que de donner un aperçu de tous les fantasmes qui pouvaient avoir cours à leur encontre, voyous, drogués, violeurs, meurtriers, satanistes, (l'ombre de Manson n'est jamais bien loin) films qui se veulent "pédagogiques" et alerter les parents des risques qu'encourent leurs enfants à fréquenter les hippies...
The hallucination generation (1967) de Edward Mann, un groupe de jeunes Américains en Espagne, sous l'emprise d'un gourou hippie meurtrier...
Riot on Sunset strip (1967) une jeune fille sous l'emprise de la drogue est violée par un groupe de hippies
Wild in the streets (1968) les hippies prennent le pouvoir aux Etats-Unis, et c'est plutôt violent !
I drink your blood (1969) un groupe de hippies zombies vampires assoiffés de sang humain sème la terreur dans un village. Inspiré directement de l'affaire Manson
The big Cub (1969) de Tito Davidson, un réquisitoire contre les drogues qui rendent fous et la contre-culture
The love-Ins(1967) de Arthur Dreyfus, film basé sur le personnage de Timothy Leary et sur le LSD
Deux films cependant différents qui tranchent un peu :
Psych Out (1968), musique psychédélique, hippies et LSD, avec Jack Nicholson
The Trip (1967) film culte de Roger Corman et Jack Nicholson
Klondike- Messages : 522
Date d'inscription : 14/10/2011
Re: Cinéma hippie
En fait, ce qui semble caractériser ces films de la hippie exploitation, outre la pauvreté des moyens mis en oeuvre et des scénarios, c'est la mise en exergue de tous les aspects les plus scandaleux de ce que pouvait représenter aux yeux du "grand public le mouvement hippie dans les années 60...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Cinéma hippie
Bien évidemment, sous le prétexte de dénoncer l'immoralité de la vie des hippies, ces films sont surtout l'occasion de satisfaire le goût d'un certain public pour les jeunes filles assez dénudées !
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Cinéma hippie
Tu as entièrement raison.
Plus récent (1977 quand même !), il y a La proie de l'autostop (Hitch hike) de Pasquale Festa Campanile, un autostoppeur psychopathe sur les routes des States... Attention dans la version française le montage a été charcuté et la durée ramenée de 1h43 à 1h13 !
Vanishing Point (1971 de Richard C Sarafian, un roadmovie post-Woodstock !
Plus récent (1977 quand même !), il y a La proie de l'autostop (Hitch hike) de Pasquale Festa Campanile, un autostoppeur psychopathe sur les routes des States... Attention dans la version française le montage a été charcuté et la durée ramenée de 1h43 à 1h13 !
Vanishing Point (1971 de Richard C Sarafian, un roadmovie post-Woodstock !
Klondike- Messages : 522
Date d'inscription : 14/10/2011
Requiem for a dream
Un film très fort. Requiem for a dream (2000) de Darren Aronofsky, adapté du roman de Hubert Selby (roman paru en France sous le titre de Retour à Brooklyn)
Le voyage sans retour d'un couple, du bonheur des paradis artificiels des "drogues douces" jusqu'à l'enfer de la dépendance à l'héroïne, jusqu'à la déchéance totale. Des images choc, qui ont été parfois utilisées à titre pédagogique auprès des adolescents !
Le voyage sans retour d'un couple, du bonheur des paradis artificiels des "drogues douces" jusqu'à l'enfer de la dépendance à l'héroïne, jusqu'à la déchéance totale. Des images choc, qui ont été parfois utilisées à titre pédagogique auprès des adolescents !
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Cinéma hippie
Oui c'est beaucoup plus sombre que Trainspotting, pas de happy end !
Klondike- Messages : 522
Date d'inscription : 14/10/2011
Hotel Woodstock
Hotel Woodstock (Taking Woodstock) de Ang Lee (2009)
1969. Un jeune décorateur menant une vie misérable à Greenwich, retourne vivre chez ses parents dans le Nord de l'Etat. Il apprend que la bourgade voisine vient de refuser l'installation d'un festival de musique... Il contacte les organisateurs et voit déferler bientôt chez lui 500 000 jeunes... Woodstock, comment tout a commencé !
1969. Un jeune décorateur menant une vie misérable à Greenwich, retourne vivre chez ses parents dans le Nord de l'Etat. Il apprend que la bourgade voisine vient de refuser l'installation d'un festival de musique... Il contacte les organisateurs et voit déferler bientôt chez lui 500 000 jeunes... Woodstock, comment tout a commencé !
Dr_Natural- Messages : 1663
Date d'inscription : 02/08/2011
Re: Cinéma hippie
"Hare Rama Hare Krishna" est un film indien tourné en 1970 par Dev Anand et joué par lui-même.
Il raconte l'histoire d'une famille canadienne d'origine indienne qui redecouvre l'Inde. Les enfants se lient avec un groupe de hippies et expérimentent la drogue. Ce fut l'un des plus grands succès de Bollywood.
Le titre fait allusion au mouvement international pour la conscience de Krishna qui envahit le monde occidental à la fin des années 60 dans le contexte du fort attrait des hippies pour l'Inde...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Cinéma hippie
Des Illusions (2009) d'Etienne Faure
Un jeune écrivain décide de partir, pour écrire son prochain roman, sur une île de la Méditerrannée, autrefois haut lieu emblématique du mouvement hippie, dans les années 60. Il est à la recherche d'un monde qui n'existe plus... Mais il fera une rencontre...
Un jeune écrivain décide de partir, pour écrire son prochain roman, sur une île de la Méditerrannée, autrefois haut lieu emblématique du mouvement hippie, dans les années 60. Il est à la recherche d'un monde qui n'existe plus... Mais il fera une rencontre...
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Cinéma hippie
Le Mariage collectif, film franco-danois produit en 1970, signé "Sven Olser et Sven Holm" (en fait, Hervé Lamarre)
Nanar monté dans le cynisme de l'époque pour surfer sur la vague de la culture hippie, la sexualité libérée et les communautés.
"Un truc mal foutu dès le début" dira Jean-Baptiste Guillot qui vient de réediter sous le label Born Bad Record, la BO de Jean-Pierre Mirouze.
Espérons que cela augure malgré tout de la réédition en DVD...
Nanar monté dans le cynisme de l'époque pour surfer sur la vague de la culture hippie, la sexualité libérée et les communautés.
"Un truc mal foutu dès le début" dira Jean-Baptiste Guillot qui vient de réediter sous le label Born Bad Record, la BO de Jean-Pierre Mirouze.
Espérons que cela augure malgré tout de la réédition en DVD...
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
My Queen Karo
My Queen Karo, film belgo-néerlandais (2009) de Dorothée Van Den Berghe avec Déborah François
Le portrait d'une communauté hippie à Amsterdam dans les années 70 à travers le regard d'une petite fille de 10 ans.
Confrontation entre le besoin d'amour et de stabilité de l'enfant et les idéaux utopistes déstructurant des adultes, le film est basé sur les souvenirs d'enfance de la réalisatrice.
Le portrait d'une communauté hippie à Amsterdam dans les années 70 à travers le regard d'une petite fille de 10 ans.
Confrontation entre le besoin d'amour et de stabilité de l'enfant et les idéaux utopistes déstructurant des adultes, le film est basé sur les souvenirs d'enfance de la réalisatrice.
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
La Princesa Hippie
La Princesa Hippie est un film mexicain de 1969
(je ne l'ai pas vu, je ne sais pas ce qu'il raconte...)
(je ne l'ai pas vu, je ne sais pas ce qu'il raconte...)
Durga- Admin
- Messages : 2792
Date d'inscription : 01/08/2011
Milestones
J'aime beaucoup cette photo. Elle est extraite du film Milestones (1975)
Etats-Unis
Réalisation : Robert Kramer, John Douglas
Avec : G.W. Abbot, Amber, Ann, Laurel Berger, Noah Berger, David Bernstein, Bobby Buechler, Carter Camp
Les États-Unis du début des années 70 : dans l’après des mouvements de protestation contre la guerre du Vietnam et de la contre-culture.
Film autoportrait de la génération du “Mouvement” qui ferme une époque et annonce sa renaissance possible. Les vies et comportements d’hommes et de femmes, rescapés américains, radicaux de gauche, s’entrelacent dans le tissage de la société. Tout comme ils font face à la politique et aux changements personnels et cherchent à réinventer leurs vies. ”Nous étions tous deux militants dans un groupe d’agitation et de propagande appelé Vermont – Vietnam. Le processus de réalisation fut le processus de notre re-mobilisation.Nous avons raconté une petite partie des histoires de nos amis dans Milestones. Étions-nous des vagabonds ? des penseurs ? des pères ? des lutteurs d’aïkido ? des expérimentateurs ? Juste des gens essayant de se débrouiller ? Nous tournâmes ce film sur des morceaux de cette culture que nous connaissions bien et sur le rythme et le tempo des vies autour de nous. Nos vies et celles de gens que nous aimions beaucoup – et les contradictions dans ces vies et leurs souffrances.” Robert Kramer et John Douglas
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Alice in Acidland
Alice in Acidland est un film de la veine American Grindhouse réalisé par John Donne en 1968. Avec Julia Blackburn, Roger Gentry, Donn Greer, Sheri Jackson, Janice Kelly
Alice est une jeune ingénue studieuse et bien élevée roulant en coccinelle Volkswagen... Sa mère étant morte du cancer, son père lui laisse un peu plus de liberté et lui permet quelques sorties d'extra avec sa meilleure amie Kathy... Le problème, c'est que Kathy est une nymphomaniaque notoire qui entraîne notre vierge pure et chaste dans les bras de la séduisante Freida, une terrible lesbienne délurée addictée aux dangereuses drogues que sont la marijuana et l'alcool!!!
C'est le début d'une longue descente aux enfers pour Alice, elle qui succombera aux plaisirs de la chair avec le séduisant Animal avant de devenir un "végétal humain" à force de consommer de l'acide à tout bout de champ...
Alice est une jeune ingénue studieuse et bien élevée roulant en coccinelle Volkswagen... Sa mère étant morte du cancer, son père lui laisse un peu plus de liberté et lui permet quelques sorties d'extra avec sa meilleure amie Kathy... Le problème, c'est que Kathy est une nymphomaniaque notoire qui entraîne notre vierge pure et chaste dans les bras de la séduisante Freida, une terrible lesbienne délurée addictée aux dangereuses drogues que sont la marijuana et l'alcool!!!
C'est le début d'une longue descente aux enfers pour Alice, elle qui succombera aux plaisirs de la chair avec le séduisant Animal avant de devenir un "végétal humain" à force de consommer de l'acide à tout bout de champ...
Klondike- Messages : 522
Date d'inscription : 14/10/2011
Alice in Acidland
Une "curiosité" connue également sous le titre français de "Alice au pays des acides" et téléchargeable en VOSTF sur http://www.t411.me/torrents/Alice-In-Acidland-DVDRIP-VOSTFR-Alice-Au-Pays-Des-Acides
Klondike- Messages : 522
Date d'inscription : 14/10/2011
Nos printemps 70
Hier soir sur France 3, un très beau film, Nos printemps 70 docu-fiction (très belles archives) de Stéphane Osmont et Emmanuelle Nobécourt (2012), qui évoque les lendemains qui chantent et déchantent d'une jeunesse (parisienne) entre la guerre du Kippour (1973) qui sonna définitivement le glas du mouvement hippie et des utopies post soixante-huitardes et l'élection de Mitterrand en 1981
C'était notre jeunesse...
C'était notre jeunesse...
patchouli- Messages : 269
Date d'inscription : 13/08/2011
Age : 73
Localisation : Région lilloise
Re: Cinéma hippie
Il y avait eu en 2008 Nos années 70 - Les insouciantes de Patrick Cabouat et Alain Moreau qui se promenait entre les espoirs et les désillusions de la jeunesse de Mai 68 à mai 1981
http://www.program33.com/nos-annees-70-les-insouciantes/
http://www.program33.com/nos-annees-70-les-insouciantes/
patchouli- Messages : 269
Date d'inscription : 13/08/2011
Age : 73
Localisation : Région lilloise
Godspell
Godspell est un film tiré d'une comédie musicale de Broadway sur le thème "Jésus est un hippie". C'est un film de 1973 réalisé par David Greene...
Je ne suis pas vraiment sûr qu'il est été distribué en France. En revanche, l'année précédente la version française de la comédie musicale à Paris avait vu les débuts de Dave et de Daniel Auteuil...
Je ne suis pas vraiment sûr qu'il est été distribué en France. En revanche, l'année précédente la version française de la comédie musicale à Paris avait vu les débuts de Dave et de Daniel Auteuil...
Klondike- Messages : 522
Date d'inscription : 14/10/2011
Re: Cinéma hippie
patchouli a écrit:Hier soir sur France 3, un très beau film, Nos printemps 70 docu-fiction (très belles archives) de Stéphane Osmont et Emmanuelle Nobécourt (2012), qui évoque les lendemains qui chantent et déchantent d'une jeunesse (parisienne) entre la guerre du Kippour (1973) qui sonna définitivement le glas du mouvement hippie et des utopies post soixante-huitardes et l'élection de Mitterrand en 1981
C'était notre jeunesse...
Oui très beau document effectivement
Peace and [strike]Love [/strike] (Blood) !
The Tripper (USA - 2007) film d'horreur de David Arquette. Lors d'un festival, un groupe de hippies est la victime d'un tueur psychopathe qui veut nettoyer les Etats-Unis de cette vermine chevelue et droguée !
Klondike- Messages : 522
Date d'inscription : 14/10/2011
Re: Cinéma hippie
Notre cinéaste drômoise Coline Serreau a commis en 1996 un film, La Belle Verte, qui se voulait être dans le fil de l'utopie hippie et la dénonciation de la société de consommation.
Mais il n'y a rien de plus affligeant que le conformisme de ceux qui veulent donner aux autres des leçons de non-conformisme.
L'histoire : des gentils extra-terrestres veulent éduquer les humains à l'écologie, à la fraternité et au pacifisme. Mais ces cons d'humains arriérés ne veulent pas se laisser convertir et préfèrent rester dans leur merde !
Je ne vois guère que les ados, et encore, qui pourraient trouver "profond" ce film d'une imbécilité et d'une bêtise absolue et qui plus est, totalement manichéen et sans nuance. C'est consternant !
Que Coline Serreau s'occupe plutôt d'animer sa chorale et qu'elle renonce définitivement à son cinéma de bobos parisiens !
Mais il n'y a rien de plus affligeant que le conformisme de ceux qui veulent donner aux autres des leçons de non-conformisme.
L'histoire : des gentils extra-terrestres veulent éduquer les humains à l'écologie, à la fraternité et au pacifisme. Mais ces cons d'humains arriérés ne veulent pas se laisser convertir et préfèrent rester dans leur merde !
Je ne vois guère que les ados, et encore, qui pourraient trouver "profond" ce film d'une imbécilité et d'une bêtise absolue et qui plus est, totalement manichéen et sans nuance. C'est consternant !
Que Coline Serreau s'occupe plutôt d'animer sa chorale et qu'elle renonce définitivement à son cinéma de bobos parisiens !
Dr_Natural- Messages : 1663
Date d'inscription : 02/08/2011
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