Mon Amérique à moi !

rainbowgeek a écrit:A priori, cette mentalité américaine déteint pas mal sur le pays voisin d'amérique du nord (on s'en serait d'ailleurs douté).

Malheureusement rainbowgeek, elle déteint sur nous tous, y compris sur les jeunes des pays pour qui l'Amérique est le Grand Satan et qui pourtant rêvent tous de jeans, de Coca-Cola, de rock et d'Hollywood...

Ladybug a buggé ???

"Ma nationalité !" C'est ce que Gore Vidal qui vient de mourir avait déclaré en 2011 lorsqu'on lui avait demandé ce qu'il aurait voulu changer dans sa vie...

25ème condamné à mort exécuté depuis le début de l'année, hier, aux Etats-Unis, au Texas (7 rien qu'au Texas). Martin Wilson diagnostiqué attardé mental a passé dix-huit ans dans le couloir de la mort avant d'être exécuté pour le meurtre d'un indic.

Une civilisation sans Coca Cola est possible : la boisson emblématique de l’impérialisme exclue de Bolivie à compter du 21 décembre 2012 !
Le ministre bolivien des affaires étrangères, David Choquehuanca, l’a rendu public le 13 juillet en présence du président Evo Morales. Le Coca Cola cessera d’être commercialisé en Bolivie à compter du 21 décembre 2012.

La date n’a pas été choisie au hasard. Ce solstice d’été (dans l’hémisphère sud) doit marquer, selon le calendrier traditionnel maya, la fin d’une civilisation et le début d’une autre.

A cette occasion, le président et le gouvernement boliviens ont prévu, à travers plusieurs manifestations, de marquer la fin de l’égoïsme, de la division, du capitalisme et le début de la « civilisation de la vie ».

La boisson capitaliste par excellence, le Coca cola, sera symboliquement abandonnée lors d’une grande fête en l’honneur de la « Mocochinche », boisson locale à base de pêche.

Au-delà de la symbolique politique purement bolivienne, cette décision a des fondements qui concernent tous les peuples du monde. Le distributeur de la multinationale n’a pas réussi à obtenir le renouvellement de sa licence pour des raisons objectives.

Les études se suivent démontrant les problèmes de santé publique que cause la consommation des boissons sucrées industrielles. En France, une taxe spéciale a été édictée au nom de ce fait.

La multinationale Coca-Cola, de même que ses concurrents, se conduit comme un prédateur économique en Bolivie comme ailleurs. La décision du gouvernement bolivien suit plusieurs avertissements restés sans suite. Depuis des années, Coca-Cola et son relais en Bolivie s’accaparent la production nationale de sucre pour revendre au prix cher leurs bouteilles et canettes grâce à leur position dominante sur les réseaux de distribution et à la publicité envahissante que l’on connaît. Les subventions sur le sucre ont d’autres objectifs que de nourrir les profits de Coca-Cola.

Il y a quelques années en France, un profond mouvement montait contre l’invasion de Mac-Donald.

Poursuivons, avec l’aide des initiatives de nos amis boliviens, l’offensive contre Mac-Do, Coca-cola, etc. à la fois multinationales capitalistes et véhicules idéologiques de l’impérialisme US/UE.

Le 21 décembre 2012, nous trinquerons à la Mocochinche !

http://vivelepcf.fr/une-civilisation-sans-coca-cola-est-possible-la-boisson-emblematique-de-limperialisme-exclue-de-bolivie-a-compter-du-21-decembre-2012/

Comme la fin du monde est prévue pour le lendemain, le Coca leur manquera pas longtemps !

Je perssiste et signe
Tente Ans après, une enquête révèle que les Américains étaient partie pre-nante dans le *
massacre de Sabra et Chatila

Discours de Hugo Chavez à la tribunne de l'ONU le 20 septembre 2006 contre l'impérialisme des Etats-Unis :
http://initiativescitoyennes.over-blog.com/article-discours-a-la-61e-assemblee-nationale-de-l-onu-hugo-chavez-108220491.html

J'comprends pas trop pourquoi vous crachez sur l'amerique c'est le berceau du mouvement hippie, et j'avais cru comprendre que c'était un forum hippy. Si quelqu'un pouvait m'expliquer.

On ne crache pas, c'est malpoli et pas hygiénique !


On n'est pas contre l'Amérique, mais contre l'impérialisme américain !

mimi, ne dis pas "on", dis "je" !

Pour blablater ça vous êtes fort.

Et toi, à quoi es-tu fort ?

Le journaliste colombien Hernando Calvo Ospina, travaillant pour Le Monde diplomatique a été refoulé, le 6 mai dernier, à l'embarquement d'un avion en partance de Madrid et à destination de Cuba par un fonctionnaire de l'ambassade Américaine. Ceci en vertu d'un accord de transfert aux autorités américaines des informations sur les passagers quittant un pays de l'Union européenne pour se rendre aux Etats-Unis ou simplement embarquant sur un avion pouvant survoler, ne serait-ce que quelques minutes, l'espace aérien des Etats-Unis.
Hernando Calvo Ospina est un dangereux terroriste : il a publié plusieurs ouvrages critiques sur la politique américaine et le rôle des Etats-Unis en Amérique latine.
Déjà en 2009 un avion d'Air France se rendant au Mexique avait été contraint de contourner l'espace aérien américain parce qu' à bord, il y avait un passager indésirable aux Etats-Unis !
Pourquoi, sur le sol d'un pays européen, en principe souverain, un fonctionnaire américain a-t-il autorité de refouler un passager ne se rendant même pas aux Etats-Unis ? Qu'en est-il de la souveraineté des pays européens ?

Et simplement de l'honneur ?

"Jours de destruction, jours de révolte", la fin du rêve américain. Une plongée vertigineuse dans la réalité de la société américaine d'aujourd'hui rongée par ses propres valeurs

Textes de Chris Hedges. Récit et dessins de Joe Sacco
Première parution : 02/11/2012, Futuropolis



Joe Sacco et Chris Hedges ont entrepris d’examiner les zones sinistrées des USA, ces régions qui ont été sciemment exploitées au nom du profit, du progrès et de l’avancée technologique. Ils ont voulu montrer à quoi ressemblait la vie des populations dans ces endroits où les lois du marché régnaient en maître, où les êtres humains et la nature furent exploités avant d’être ensuite abandonnés afin d’en tirer un maximum de profits. Ils ont voulu voir ce que l’idéologie du capitalisme décomplexé signifie pour les familles, les villes, les travailleurs et l’écosystème. De la réserve indienne de Pine Ridge dans le Dakota aux militants d’Occupy Wall Street, les auteurs dressent un constat peu optimiste sur l’Amérique contemporaine, celle dont le taux de pauvreté est le plus élevé des pays industrialisés.

Depuis douze ans 166 détenus sont encore incarcérés à Guantanamo, bien qu'ils aient été déclarés libérables, et les promesses d'Obama, ce sont "de pauvres hères, loin d'être des terroristes, arrêtés à l'époque au hasard parce qu'ils se trouvaient au mauvais endroit au mauvais moment, leur vie est foutue, on leur a tout enlevé" (David Remes, un de leurs avocats) parce qu'il n' y a pas de crédit pour assurer leur rapatriement.
Une majorité d'entre eux ont cessé de s'alimenter depuis plusieurs semaines... Certains ont perdu énormément de poids et mettent leur vie en danger. Onze au moins sont nourris de force par perfusion.
La Croix Rouge s'émeut timidement
Vive la grande Amérique !

Dieudo assassine la culture américaine !

https://www.youtube.com/watch?v=dJ9jKf00jjM

Un professeur américain de l'Idaho va avoir de sérieux ennuis avec les autorités américaines de l'Education : lors d'un cours de biologie destiné à des élèves de 15 ans, il a utilisé le mot "vagin" !!! Des plaintes de parents d'élèves ont été déposées !
Source : Pierre Barthélémy dans Le Monde science & médecine page 6 du 8 mai 2013

Le "rêve" américain repose essentiellement sur la domination des autres...

Il n'est pas nécessaire d'être un grand connaisseur du monde états-uniens pour percevoir le lien entre la mort, aux États-unis, d'une fillette tuée par son petit frère de cinq ans qui jouait avec la carabine offerte par ses parents, et la mort de 1 OOO personnes tuées dans l'effondrement d'un immeuble où ces malheureuses trimaient comme des bagnards pour les multinationales du textile, a des salaires défiant toute concurrence.

Je ne jurerais pourtant pas qu'il y ait beaucoup de gens pour concevoir clairement le rôle des États-Unis dans le déferlement de barbarie qui depuis des décennies balaie la planète sous le nom de "mondialisation économique" et qui, à partir du continent nord-américain, n'a cessé d'étendre ses ravages à tous les autres continents, comme un irrésistible tsunami. (...)

Le melting-pot américain à fait office de laboratoire pour croiser et sélectionner les composantes les plus performantes de l'ADN capitaliste occidental : le pragmatisme entreprenant et brutal du pouvoir anglo-saxon, l'avidité insatiable de l'affairisme bourgeois et la bonne conscience pharisienne des Églises protestantes.

Extraits d'un article d'Alain Accardo, La Décroissance, juin 2013

Autres extraits de l'article d'Alain Accardo (La Décroissance, juin 2013)

[L'Amérique fait] surgir partout le type humain dont le Marché a besoin : une engeance de lads et d'entraîneurs, middle class à courte vue qui croit sérieusement que la réussite sociale est un signe d'élection, que Dieu lui a assigné pour mandat d'implanter partout des entreprises commerciales, de produire des marchandises à profusion, de consommer plus que de besoin, d'exploiter les peuples, de souiller les contrées, de saccager la nature, de gagner de l'argent tant et plus, et de flinguer quiconque voudrait s'y opposer...

Et tout ça au nom de la liberté.
Le monde est vraiment malade de l'Amérique !

Le billet de Gilles Debernardi dans Le Dauphiné du 11 juillet :

Le Nobel de la paix installé à la Maison Blanche avait promis de faire cesser le scandale. Dès son élection, juré, craché, le bagne militaire de Guantanamo fermera. Si des charges réelles pèsent sur ses prisonniers, il revient à la justice fédérale de les examiner. Et non pas à l’armée, sauf à confondre le treillis avec la robe des magistrats. Le règne de “l’arbitraire”, instauré par George Bush et sa clique, n’a que trop duré. Donner des leçons de démocratie au monde implique au moins de les suivre soi-même, non ? Ainsi parlait l’angélique candidat, à l’époque bénie du “Yes we can”.

Cinq ans plus tard, pourtant, le sort des taulards en tenue orange demeure inchangé. Ils sont toujours coupés du monde, soumis à un sévère régime de “non droit”. Une cinquantaine d’entre eux, grévistes de la faim depuis des mois, se trouvent “alimentés de force”. À l’heure des repas, on les attache sur une chaise. Avant de les nourrir, manu militari, par un tuyau conduisant du nez à l’estomac…

Si prompte à s’indigner du “martyre” des oies dans le Gers, la gauche américaine finit par protester. Qu’elle se rassure, Barack Obama sait se montrer humain. Le “gavage des détenus” va certes continuer pendant le ramadan. Mais il s’effectuera “après le coucher du soleil”, conformément au rite musulman. Ouf, on respire ! Les États-Unis, phare du monde libre, évitent le pire à leurs pensionnaires de Guantanamo : une crise de foi.