Expositions

Ramuntcho Matta fils de son père Roberto, actuellement à la Galerie Anne Barrault

G I R L, exhibition célébrant la Femme à la Galerie Perrotin et dont le commissaire est... Pharrell Willians

une belle exposition à voir semble-t-il...

Anaïs a écrit:Plein d'expos intéressantes en perspective... On organise quelque chose ensemble ? Ce serait super de se rencontrer !

Oui ce serait bien  

Karlsruhe rend hommage à Jean-Jacques Lebel.
C'est Jean-Jacques Lebel qui a introduit en France la contre culture et l'underground. Il avait été le premier à organiser en 1967 le premier festival psychédélique en France, la fameuse Fenêtre rose.
http://container.zkm.de/presse/PM_Lebel_2014_F.pdf

Reine du pop-art, Evelyne Axell (1935-1972) est aujourd'hui un peu oubliée.
Le Centre Wallonie-Bruxelles de Paris (46 rue Quincampoix) lui rend hommage le lundi 22 septembre 2014 à 20h avec deux films : Evelyne Axell, la Vénus aux plastiques de Françoise Levie (2013) et Les années Pop-art, 1964-1968 de Jacques Antoine (2001)

http://www.cwb.fr/programme/rendez-vous-des-auteurs
http://www.evelyne-axell.com/

Alain Bublex

Hosukai, La vague, 1831, actuellement au Grand Palais.

En France, le peintre Japonais le plus connu est Foujita. Il s'installa dans le Montparnasse des Années Folles et fut influencé par le cubisme et Picasso. Il se convertit au catholicisme, prit le prénom de Léonard et obtint la nationalité française. Il est mort en 1968.

TEMPORARY · Elisabetta Di Sopra
8 febbraio - 21 marzo 2015

Inaugurazione domenica 8 febbraio h. 17.00 - 20.00
performance in presenza dell’artista
La 3D Gallery di Mestre apre le sue porte a una nuova stagione espositiva inaugurando il nuovo anno con la mostra personale dell’artista Elisabetta Di Sopra, TEMPORARY. Capitolo introduttivo di un ciclo di mostre dedicato al tema della memoria, compresa sia nelle sue accezioni più intime e personali sia come memoria collettiva, l’intervento artistico di Elisabetta Di Sopra racconta con consapevolezza e profondità la fugacità dell’esistenza e di ciò che la circonda. Evocando con delicatezza la percezione soggettiva della durata, i ricordi e le immagini qui rianimate svaniscono e riaffiorano come oggetti del passato, come tracce di un racconto che siamo impegnati a scrivere quotidianamente.
A cura di Giulia Bortoluzzi.

La mostra sarà visitabile dall' 8 febbraio al 21 marzo 2015,
dal giovedì al sabato dalle ore 15.30 alle 19.30 o su appuntamento.
Chiuso il 20/21 febbraio.

Snake Dance de Camille Fischer, actuellement à la galerie Maïa Muller 19 rue Chapon Paris 3ème jusqu'au 8 mars.

Peinture à quatre mains:
Exposition Kijno/Combas sur le thème de la Passion du Christ
au Centre d'Art Sacré de Lille
- "Crypte Moderne" de la Cathédrale Notre Dame de La Treille - Place Gilleson, 59800 Lille (entrée sous les marches du parvis de la Cathédrale)
du 27 mars au 12 avril 2015


https://www.facebook.com/events/613733248760576/

L'une des versions du Cri d'Edvard Munch a été prêté à la Fondation Louis Vuitton

Edvard Munch, Femme en larmes

"Hendrix Now", au magasin The slowear store, 169 Boulevard Saint Germain Paris

Du 23 avril au 30 avril 2015

http://www.artnet.com/galleries/photology/hendrix-now-in-collaboration-with-the/



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The Arena, une oeuvre de Sylvester Stallone exposée avec d'autres au Musée d'Art Moderne de la ville de Nice.
Il paraît qu'il se défend en peinture Rambo...

L'art pieuvre de Jodorowsky

Ses tentacules attrapent toutes les pratiques à sa portée. L'écrivain, performeur, réalisateur, psychomagicien et auteur de BD franco-chilien Alejandro Jodorowsky passe la porte du musée, poussant ce dernier à se métamorphoser. Documents inédits et scéno cousue sur mesure.

Jodorowsky est une pieuvre, qui happe tout sur son passage. Il guérit à coups de tarot de Marseille (dont il connaît l'art sur le bout des doigts) et invente des sagas intergalactiques. Marionnettiste (dans sa jeunesse) et fondateur (en 1962) du mouvement Panique aux côtés de Topor et Arrabal. Surréaliste intérimaire allergique à l'autorité, et fâché pour cette raison précise avec André Breton. Monstre vorace, avaleur d'irrationnel, qu'on imaginait mal au musée. Le voilà pourtant exposé au CAPC à Bordeaux jusqu'en octobre, sous une grande nef transformée en « ville » par l'architecte Andreas Angelidakis. Rues, labyrinthe, tour, atrium (pour l'organisation de performances) et salles de lecture presque vides – où l'on peut consulter ses nombreux livres psycho-ésotériques – accueillent le visiteur. Chaque zone correspond à une discipline (cinéma, BD) en lien avec la thématique du tarot, sans forcer pour autant sur la symbolique. C'est un peu comme si on se baladait dans le cerveau de monsieur Jodo. Avec toutes les rencontres incongrues que cela implique.

Rétrospective
Amedeo Modigliani, l'œil intérieur

Du 27/02/16 Au 05/06/16 au Musée d'art moderne de Villeneuve d'Ascq




http://france.fr/fr/agenda/amedeo-modigliani-retrospective-lam-lille

J'ai beaucoup aimé, admiré Modi (maudit ?) quand j'étais tout jeune. Puis plus tard, j'en ai vu clairement l'aspect "procédé", ce qui n'enlève rien, bien sûr, à son talent...
J'appelle "procédé" le fait d'avoir trouvé un "truc" de travail, de façon de faire, et de ne plus en sortir...

Jean-Luc a écrit:J'ai beaucoup aimé, admiré  Modi (maudit ?) quand j'étais tout jeune. Puis plus tard, j'en ai vu clairement l'aspect "procédé", ce qui n'enlève rien, bien sûr, à son talent...
J'appelle "procédé" le fait d'avoir trouvé un "truc" de travail, de façon de faire, et de ne plus en sortir...

Je suis d'accord avec toi. Mais c'est p't'être bien pour trouver de quoi boire son coup qu'il s'est enfermé dans un procédé (qui rapporte...).
Picasso disait (Est-ce vrai? On en dit tellement sur ce qu'il aurait dit): y'a des peintres qui peignent comme on fait des gauffres; ils ont trouvé un moule et font des gauffres...

J'ai mis cette annonce d'expo car c'est par chez moi et que c'est quand même une rétropective. Et puis c'est la bohême, la vraie, sans le sou de toute une époque...

Nue dans la nature, des fleurs dans les cheveux, n'est-elle pas hippie ? Georges Desvallières actuellement exposé au Petit Palais. Un peintre à découvrir.

C'est un peintre très catho !

Courez-y vite, ce sont presque les derniers jours. D'autant plus que la Maison Rouge est appelée à disparaître !





L'esprit français, Contre-cultures 1969-1989 à la Maison Rouge
Un sentiment persistant sous-tend cette exposition : c’est par ses marges que la France a produit ce qu’elle a de meilleur. Au sortir des années 1960 et jusqu’à la fin des années 1980, une génération est marquée par la « pensée 68 », qui mêle toutes les libérations politiques, sociales, esthétiques et de modes de vie, sur fond de crise grandissante. Cette situation paradoxale affecte différentes formes de contre-culture où les arts populaires (rock, bande dessinée, presse, télévision, graffiti, etc.) influent sur les champs plus traditionnels de la culture en les subvertissant. Or, il semble qu’un esprit particulier souffle sur cette nébuleuse : alliage d’idéalisme et de nihilisme, d’humour caustique et d’érotisme, de noirceur et d’hédonisme. Du sabotage de l’identité nationale aux libérations sexuelles, des contre-éducations aux soirées du Palace, de la Figuration Narrative à la violence graphique de Bazooka, des éditions Champ Libre aux radios libres et de Hara Kiri à Bérurier Noir, cette exposition aborde tous les champs de la création. Elle dresse une cartographie subjective de postures minoritaires et dissidentes qui ont en commun d’avoir échappé aux prescriptions de la culture officielle. Il importe moins de décider si cet « esprit français », insolent et destructeur, crâneur et festif, relève de l’invention de concept ou s’il préexiste à cette étude, que de regarder ce qu’il produit en tant qu’hypothèse pour réveiller les consciences et les désirs aujourd’hui.
http://www.lamaisonrouge.org/Maison%20Rouge/documents/mrDPfrEspritFR9097.pdf

Il faut un certain courage pour monter aujourd'hui une exposition sur le nom de Balthus. Certaines annoncées ces derniers temps ont été finalement annulées tant le peintre fait l'objet d'un rejet dans l'opinion. Le Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris a osé, je suppose que cela n'a pas été sans mal. Il est vrai qu'il s'agit d'une confrontation des œuvres du peintre avec celles de Derain et celles de Giacometti, ce qui peut en atténuer peut-être l'aspect  supposé scabreux.  Cependant le MAM n'a pas hésité à accrocher une oeuvre aussi emblématique que Les Beaux Jours qui est considérée comme parfaitement scandaleuse de nos jours. Merci le MAM.
À voir au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris jusqu'au 29 octobre 2017.

http://www.mam.paris.fr/fr/expositions/exposition-derain-balthus-giacometti