Toute vérité n'est pas bonne à dire !

Le président soudanais Omar Al-Bachir qui lutte contre Boko Haram a déclaré que la CIA et le Mossad se cachaient derrière le terrorisme islamiste afin de déstabiliser durablement le monde et mener leur politique impérialiste et maintenir la domination des États Unis et d'israël.
Tout le monde le sait, personne le dit !

Tout le monde sait effectivement que ce sont les Americains qui ont inventé et armé les Talibans dans les années 80'pour contrer les Russes.
Que les Americains ont combattu Saddam Hussein qui était un rempart contre les islamistes (c'est depuis la chute de Saddam Hussein organisée par les Americains que les terroristes islamistes sont devenus une menace pour le monde) et collaborent au contraire avec les monarchies islamistes les plus rétrogrades comme l'Arabie Saoudite, terreau du terrorisme.

Qui tire les ficelles et à qui profitent les meurtres de Charlie Hebdo et de l'Hyper Casher ?
Le 18 septembre 2014, trois mois avant les attentats, Hollande déclarait : " la menace terroriste n'a jamais été aussi forte en France." Et lors de ses vœux à la nation : " les menaces qui montent et inquiètent ce sont le terrorisme, le communautarisme et le fondamentalisme qui nous menacent gravement."
Alors pourquoi avoir retiré la protection des locaux de Charlie Hebdo, pourquoi les frères Kouachi, et Coulibaly pourtant contrôlé à Paris le 31 décembre 2014, n'étaient plus surveillés (Canard Enchaîné)?

Parce que l'islamisme est l'enfant monstrueux mais utile du capitalisme, du libéralisme et de l'impérialisme ? (Le Monde du 10 fevrier 2015)

La classe dominante est capable de tout pour garder le pouvoir.

Et si la version officielle était mensongère ?

Si le copilote de l’A320 ne s’est pas suicidé, toute la narrative officielle tombe à l’eau. Et d’où nous vient cette narrative officielle des autorités françaises ? Des Etats-Unis ! Le début de la construction de l’histoire officielle a été lancé par le New York Times, repris par tous les médias du monde, y compris français. Suicide bien commode comme beaucoup de suicides sans cause brandis dès qu’une explication embarrassante doit être fournie.

Il suffit de sortir de l’écoute passive du ronronnement médiatique et d’observer et analyser les discours, pour se rendre compte que tout ce qui s’est dit jusqu’ici est un tissu de mensonges encore plus vicieux que celui concernant le 11 septembre, car ici, il y a une construction méthodique, brique après brique, du mensonge. On ne sait pas ce qui s’est passé et on ne le saura peut-être jamais, mais on sait déjà que les explications officielles ne tiennent pas la route et omettent beaucoup d’éléments qui contredisent les discours.


Qu’y a-t-il de faux, dans le discours actuellement en vogue ?

Le copilote Lubitz n’a pas pu vouloir se suicider. Un jeune pilote reconnu à 100% apte à piloter selon les normes très, très strictes appliquées dans le domaine de l’aviation, surtout dans un pays comme l’Allemagne, ne peut pas se transformer, le temps d’un crash, en un psychopathe bourré de médicaments. Tous ceux qui l’ont connu rejettent ces allégations. Si elles étaient vraies, alors ne prenez plus l’avion, les normes ne servant à rien.

Du coup, la conversation calme entre les deux pilotes à travers la porte verrouillée du cockpit dont nous parle le New York Times n’a pu avoir lieu. Si elle avait eu lieu, cela voudrait dire que le jeune homme, en n’ouvrant pas la porte, soit voulait se suicider, ce que nous avons écarté, soit était inconscient, ce qui rendrait toute conversation impossible.



Donc le New York Times ment, et tout ce qui en découle est faux.

Le crash des Alpes rappelle étrangement le crash d’Air Algérie en provenance de Ouagadougou qui a eu lieu au Mali au mois de juillet dernier. On avait retrouvé des débris sur plusieurs kilomètres, et aucun impact significatif au sol, comme s’il avait été pulvérisé en plein vol. Dans les Alpes, nous avons à peu près le même schéma. Débris éparpillés un peu partout, et aucun impact sur la montagne. Ce qui voudrait dire que l’avion ne s’est pas écrasé entier au sol, et qu’il avait commencé à se désintégrer en vol.

Ce que semble d’ailleurs confirmer les témoignages oculaires des habitants de la région recueillis à la base aérienne d’Orange. Ces témoins affirment avoir entendu des explosions et vu de la fumée sortant de l’avion. Ce qui, en passant, démolit le récit du New York Times, car on ne voit pas comment le commandant de bord pourrait aller pisser et revenir tenir une conversation calme avec son copilote, pendant que son avion est en feu.

Que vient faire le FBI dans cette histoire ? Si les hommes politiques français peuvent être soupçonnés d’allégeance à des forces hégémoniques extérieures, ce n’est pas le cas des administrations françaises. A ce stade des investigations, il est difficile d’imaginer la machine judiciaire française demander le concours du FBI autrement que sous forme d’échange de renseignements, et les procédures judiciaires n’ont pas la réputation d’être simples et rapides. Et pourtant le FBI a été « appelé » à la rescousse, à moins qu’il ne se soit appelé lui-même.

Puisque les raisons du crash semblent destinées à être cachées, il est probable que dans les jours à venir, nous ayons régulièrement des révélations gardées bien au chaud, avec l’aide bienveillante des grands médias dont nous savons pourtant que toute révélation émanant d’eux ne peut être qu’une révélation commandée.

Que s’est-il passé de si grave qui oblige les officiels à s’empêtrer dans des contorsions mensongères, allant jusqu’à salir un jeune pilote qui, d’après les témoignages, n’aurait pas fait de mal à une mouche ? La coopération internationale dans le mensonge est évidente, et c’est d’autant plus inquiétant.

Au vu de l'importance vitale qu'a, pour le Système, la foi dans la Toute-Puissance du trafic aérien – que personne ne songera jamais à remettre en question-, il est peu probable que cet accident provienne d'une action volontaire de l'un ou l'autre service du Bloc occidental.
On peut aller jusqu'à penser que, pour la cohésion du dit Système, il soit préférable de faire croire à un quelconque "bavure" plutôt que de conforter l'hypothèse de pilotes soumis à des conditions tellement dures – rendant leur psychologie fragile - qu'ils en viennent à être suicidaires...
Ce qui pourtant est relativement plus plausible, mais serait assez gênant pour la confiance des "citoyens-consommateurs" dans ce fleuron du Technologisme.
D'une manière ou de l'autre, l'Avion est central dans la symbolique du Système. ( Voir le curieux avion inversé qui sert désormais de logo à l'Élysée ).
Je serais tenté pour ma part de voir là l'apparition d'un nouveau symptôme significatif, rejoignant par là les suicides du type "conducteur fantôme, à contresens tous feux éteints sur l'autoroute", ou, plus trivialement, le fait de se jeter sur les voies de chemin de fer. Une façon ultime de capter à soi un peu de la surpuissance du Système.
On verra...
Ceci dit, bien sûr, la bêtise du Système est telle qu'il pourrait bien s'agir finalement d'une bavure quelconque

S'il s'agit bien d'un suicide on peut effectivement remettre en cause tout un système dont l'homme n'est plus au cœur ni la finalité, et qui pousse à de tels actes de désespoir...

Le VRAI suicide serait de ne pas le remettre en cause....

En tout cas, ils ont annoncé que la 2ème boite noire a été retrouvée.

Ardwenn a écrit:Le VRAI suicide serait de ne pas le remettre en cause....

On est déjà morts, je crois malheureusement... Tués par les mensonges du système...

Que faire pour ne pas être complice d'un système qui broie l'humain ?

C'est l'une des raisons pour lesquelles je ne vote pas...
Notre vote, quel qu'il soit, ne conteste pas le système, il le renforce...

REFUSER TOUTE COLLABORATION VOLONTAIRE.
C'est déjà assez qu'il nous faille collaborer pour gagner de quoi vivre, puisqu'il n'y a plus moyen de faire autrement.