Truc

Alors ça c'est une découverte !!!

Un groupe canadien hippie folk psych des années '70

Claudine Longet est une chanteuse française oubliée qui a fait une petite carrière aux Etats-Unis entre 1967 et 1970, rien qu'avec des reprises. Elle y fut si célèbre que les Rolling Stones lui dédièrent une chanson : "Claudine"

Voici deux reprises de Claudine Longet
Parait-il qu'elle faisait un malheur aux States avec son accent délicieusement frenchy...

Et voici le titre que les Stones lui ont dédié, intitulé simplement "Claudine" :

Claudine Longet fut surtout connue aux Etats Unis plus pour sa vie tumultueuse et les faits divers que pour son talent de chanteuse. Elle défraya la chronique pour ses nombreuses aventures dans le milieu du show-biz américain. En 1976 elle fut condamnée à... trente jours de prison pour homicide involontaire après que l'un de ses amants ait été tué (accidentellement ?) d'une balle de revolver. C'est cette histoire que les Rolling Stones racontent dans la chanson "Claudine"... Reconnaissante, elle s'est mariée par la suite avec... son avocat !

Son plus grand succès, véritable succès international, n'est pas une reprise mais est une chanson française dont le titre est pourtant anglais, "Love is blue". Elle est dûe au compositeur Paul Mauriat.
En voici la version instrumentale originale :

Gavin Bryars est l'un des représentants du courant minimaliste. Voici l'une de ses compositions les plus connues Jesus' blood never failed me yet. Il s'agit en fait de l'enregistrement d'un poivrot qui chantait un cantique religieux dans la rue sur lequel Bryars a travaillé.

Il a aussi créé en 1975 une oeuvre sur le naufrage du Titanic : The sinking of The Titanic.

Alexander Ebert, avec sa gueule de Manson déglingué est-il un hippie ?

Aphrodite's Child it's five o'clock en 1969 ; si si, c'est bien Demis Roussos qui chante et "joue" de la guitare. Ça a un petit air de Whiter Shade of pale vous trouvez pas ?

Une véritable bombe : Los Saicos un groupe péruvien précurseur du mouvement punk... dans les années 60 !!!

Qui se souvient de ces deux chanteurs post hippies du début des années 70, Herbert Pagani et Angelo Branduardi ?
L'étoile d'or (Herbert Pagani ) La Demoiselle (Angelo Branduardi)

The Residents, est un groupe très mystérieux car jamais on ne sut l'identité des membres et ils jouaient avec une cagoule !
Une curiosité. Leur premier titre Santa Dog est sorti en 1973... Il s'amusèrent à parodier les Beatles

En réponse à Ria_Bartok qui nous a asséné Angelo Branduardi, j'ai trouvé ce commentaire très à propos qui pourrait s'appliquer également à pas mal d'autres "hippies", suivez mon regard !

12 chansons qui m'ont bien pourri l'ambiance: n°8 - Angelo Branduardi, La Demoiselle
Donc, après les 111 albums qui m'ont marqué, 12 chansons qui me donneraient l'envie de devenir sourd... Ce sont mes 12 travaux de recule!

Celle-là vaut vraiment le pompon. C'est un peu la queue du Mickey. Quand on la chope, on s'offre un tour gratuit. Ca doit dater de 75, à vue de nez. Ca faisait le bonheur du Grand Echiquier de Chancel qand Maurice André était malade.

Je l'ai immédiatement haï, ce type à chignon et violon, fringué babcool sur un mode imposteur, son petit gilet "façon grand-père" qui ne sortait pas du marché Malik assurément, cette touffe bien trop afro pour être naturelle. C'était une tendance du moment: prendre les codes de la contre-culture et les rendre présentables, accessibles aux mégères de moins de cinquante ans. Dans la vraie vie, on en croisait des dizaines, de ces gars très peace and love en apparence, qui se révélaient d'odieux personnages dès qu'on grattait un peu le vernis post-hippie. C'est pure mauvaise foi de ma part, pur parti-pris, je l'admets sans fard: dès que je l'ai vu j'eus la conviction que cet Angelo était un authentique "faux gentil", et d'ailleurs je ne parle pas l'italien, c'est dire à quel point mon jugement relève du simple délit de belle gueule, autant le reconnaître, et puis il y a prescription.

Au-delà de mon intuition j'en conviens discutable, quelque chose dans sa démarche artistique me semblait AUSSI respirer le mensonge, relever de l'arnaque. Cette niaiserie débitée sur fond de baroquisme à dix lires le mêtre, ce côté popounet moyen-ageux, entre new-age de carnaval et coolitude ésotérique, me donnait juste l'envie de prendre sa Demoiselle entre quat'z'yeux, lui régler son compte à l'ancienne, à coup de masses dans les rotules, qu'elle me les rende, "mon nom, mon amour, ma joie" et s'en retourne à l'usine, cette conne. Elle ne me donna quoi qu'il en soit aucune envie d'aller plus loin dans ma découverte du poête ultramontin, et je crus vite en être pour de bon débarrassé.

Sauf que j'allais commettre dans ma vie cette erreur fondamentale, je dirais fondatrice d'une existence particulièrement foirée : passer (et réussir) le concours d'entrée à l'Ecole Normale d'Instits. Là où semblait s'être retrouvé tout le fan-club. C'était même à se demander s'ils n'avaient pas inclus dans la sélection des partantes un test de connaissance approfondie de l'oeuvre branduardienne, ou branduardiste comme vous voudrez, épreuve à laquelle j'aurais échappé par quelque intervention du Diable.

Combien de fois aurai-je vu des hordes d'enfants contraints de se déhancher, affublés qu'ils étaient d'ignobles papiers crépons aux couleurs plus vives que diarrhées multicolores, au son des branduarderies que vomissait un électrophone anémique et confus, les jours de "fêtes de l'école"? Abomination qu'auraient précédée maintes séances infernales de répétitions où "la maîtresse" balançait cette purée quatre ou cinq fois dans l'heure, s'assurant en vociférant que Mustapha donnait bien la main DROIIIITE à Laura tandis qu'icelle prenait bien sa pose de princesse comme faisaient derrière elle Jessica, Latifa, Nadia, Deborah, et ARRETE DE FAIRE L'IMBECILE, Mustapha: tu es un PRINCE du MOYEN AGE! Tu sais ce que c'est, un prince du MOYEN AGE? On reprend...

Ainsi la Bruandarderie m'apparait elle un mal consubstantiel des 5 années de prison passées par moi dans des écoles maternelles, alors qu'avec un peu de chance j'aurais pu m'engager dans la Légion, ou faire braqueur de banque et tomber un matin sous les balles de l'anti gang. Le pire étant qu'on n'a qu'une vie, pas comme dans ces jeux vidéo où l'on peut apprendre de ses erreurs en recommançant l'affaire AU DEBUT.

Archétype des chansons que j'insupporte, celle-ci révèle un double effet de fabrication: côté paroles le même couplet qu'on répète quatre fois, à la paresseuse, espérant que l'auditeur inattentif ne repèrera pas la supercherie. (Ce qui est d'ailleurs, le cas le plus souvent, ils ont raison de pas se faire chier). Côté musique, c'est le coup du tunnel instrumental qui n'en finit pas, traine en longueur et se répète. Ici, on a les deux, du coup cette mignonne torture dure ses cinq minutes, alors qu'elle est déjà ignoble à 2'30".

"Qui t'as rendu bien malââ-deuuuuu". Comment supporter sans gémir pareil prurit sonore ?

Source : http://blog-hrc.typepad.com/testament/2012/03/12-chansons-qui-mont-bien-pourri-lambiance-n08-angelo-branduardi-lademoiselle.html

hippium a écrit:.Ca faisait le bonheur du Grand Echiquier de Chancel qand Maurice André était malade.

Grandiose !

Gotainer dans une parodie de Trenet !

Richard Gotainer
MAMAN FLASHE ET PAPA FLIPPE


Ma mère est une hippie
Super vachtément chiément à la coule
Mon papa lui fait chez junky
Même assure chez Baba cool.

J'ai bu du tait de zazou
J'ai mangé le pain des freaks
Je suis un fils de punk
Un enfant de beaknitre.

Mon tonton le rocker m'apprit l'art du blouson
Mes copains les yéyés, celui du madison
J'ai fait un milliard de plans
Et trente deux coupes de tifs
Je sais tousser dans un joint
Éternuer dans du sniff.

Maman flashe et Papa flippe
Papy plane et Tata tripe
Maman flashe et Papa flippe
Papy plane et Tata tripe.

Diplômé dès le berceau
En délavage de blue-jeans
J'ai suivi des cours de décadence
En pataugas et en smoking
Je sais comme on loubarde en pattes d'éléphant
Ou bricoler Love and Peace sur un gilet afghan
Tentures indiennes babouches, bâtons d'encens chilums
Déjà même tout petit, je parlais comme un homme
On m'enseigna le badge, le parka, le basket
Je suis né à Goa dans une camionnette.

Maman flashe et Papa flippe
Papy plane et Tata tripe
Maman flashe et Papa flippe
Papy plane et Tata tripe.

Branché par un neveu du côté de ma femme
J'ai changé cocotiers pour néons macadam
Le coeur en gandoura j'ai tourné ma pelisse
Genre la boule à zéro, style épingles à nourrice.

Mon cousin le sorcier, un funky à cheveux verts
Un soir au bord du feu, au milieu d'un hiver
Me dit: "Petit bâtard", tes aïeux firent le blues
Mais c'est du rock'n Roll dont tu es le papoose.

Ma mère est une hippie vachtément à la coule
Mon père est un junky, ma Mémé Baba cool
Né parmi les zazous, élevé chez les freaks
Je suis un fils de punk, un enfant de beaknitre.

Maman flashe et Papa flippe
Papy plane et Tata trippe
Maman flashe et Papa flippe
Papy plane et Tata trippe
Maman flashe et Papa flippe
Papy plane et Tata trippe.

Richard Gotainer : Maman flashe et papa flippe

Pseudo Hippies fut le nom d'un groupe pop punk britannique de 1991 à 1995...

Site d'Alienfolk : http://www.alienfolk.com/

Psychedelic phinland est une compilation parue en 2006 de rock psychédélique finlandais et de de musique underground entre 1967 et 1974. Un extrait de 1968.

Vous aimez ?

Connais pas Une compile ?

Probablement ! Ça date de 1999, et ça s'appelle "Hippies Goddesses"...
En voici le contenu :
Sally - Super Psychedelic Trippy Acid Technicolor
Colleen - Birds With Broken Wings Pt. 1
Cherry - All Woman
Colleen - Women Liberation Blues
Cherry - High
Carol - I'm Magic, Man
Lily & Maria - Everybody Knows
Candy - Smilin'
Mary - Luv
Tobie - Come In My Mouth
Raquel - Your Love Been So Good
Colleen - Love Man Intro
Colleen - Love Man
Michele - Believe You
Linda - Parallelograms
Colleen - Birds With Broken Wings Pt. 2
Xaviera - The Hippie