Chéloniens

La signature génétique d'une espèce rare de tortue géante des Galapagos que l'on croyait éteinte depuis plus de 150 ans aurait été retrouvée dans l'ADN de onze descendants hybrides, ce qui laisse supposer aux chercheurs que certains de ses représentants sont encore vivants !

100 tortues de terre ont été saisies par la Douane de Port-de-Bouc (Bouches du Rhône) suite au contrôle d'un véhicule en provenance de Tunisie. Les animaux ont été confiés au Muséum d'Histoire Naturelle de Marseille.
(AFP 19 juin 2012)

Georges, une tortue des Galapagos, découverte en 1971, et unique représentant de son espèce Geochelone abingdoni est mort sans aucune descendance, à environ 100 ans, alors que l'espérance de vie était estimée entre 150 et 200 ans. En vain, on avait à plusieurs reprises tenté de la faire se reproduire avec une autre espèce proche, mais sans succès.

Anaïs, tu m'a fais peur ! Un moment j'ai cru que c'était l'un de nos Georges à nous qui était mort !

Cette pauvre tortue de mer a eu ses deux pattes avant happées par un requin. Elle a été équipée de prothèses par des vétérinaires japonais et finira sa vie tranquillement dans un aquarium de Kobé (Japon)

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C'est horrible !

Cruel et choquant

mais c'est la vie...

Une tortue de 40 kilos capturée en bordure de route
Annonay Devézieux

C’est un employé de la Poste qui, faisant sa tournée matinale, a fait l’étonnante découverte, hier.

Une grosse tortue se mouvait à côté de la déviation de Marenton entre Annonay et Davézieux. Alertés, les policiers municipaux d’Annonay se sont rendus sur place et ont finalement retrouvé l’animal qui se trouvait en bordure de la “deux fois deux voies” qui relie la vallée du Rhône au bassin d’Annonay.

Les policiers municipaux sont finalement parvenus à attraper l’animal, particulièrement agressif. Cette tortue, dite hargneuse, est équipée d‘une mâchoire dangereuse et de griffes coupantes.

Le reptile a finalement été déposé dans une cage et amené par les services municipaux, sur les conseils de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage, au safari-parc de Peaugres, situé à quelques kilomètres du lieu où il a été retrouvé.

D’après les premiers éléments communiqués, l’animal ferait entre 30 et 40 cm de diamètre pour une quarantaine de kilos. Il nécessite également un certificat de capacité pour être détenu.

Source : Le Dauphiné le 13 juillet 2013