Drogues, ivresses
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Re: Drogues, ivresses
Le catalogue de l'expo Sous influences même s'il coûte (quand même !) 38 euros est un document de référence, un must à se procurer...
Quelques photos :
Yayoï Kusama "Dots Obsessions" Collection Frac Midi-Pyrénées/Yakoï Kusama
Philippe Mayaux "Vous mé réconéssé" (Tête de mort) F. Gousset/Loevenbruck/Adagp
Quelques photos :
Yayoï Kusama "Dots Obsessions" Collection Frac Midi-Pyrénées/Yakoï Kusama
Philippe Mayaux "Vous mé réconéssé" (Tête de mort) F. Gousset/Loevenbruck/Adagp
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Drogues, ivresses
Ceux qui usent des psychotropes à titre d'usage récréatif, je les laisse à leur récréation !
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Drôle ?
J'ai retrouvé cette vieille "réclame" (probablement des années 40/50) qui vante les mérites de la benzédrine y compris pour les enfants... On la prescrivait à tour de bras "pour se sentir mieux..." !
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Jean Cocteau
Jean Cocteau, opiomane, fut l'auteur d'Opium, journal d'une désintoxication
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Drogues, ivresses
La benzedrine fut la drogue des beatniks. Dans Sur la route, Kerouac raconte comment lui et ses compagnons utilisaient de façon détournée les inhaleurs achetés sans ordonnance en pharmacie...
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Drogues, ivresses
Néo-codion, comment prévenir les effets secondaires (constipation) de l'usage de la codéine et des dérivés opiacés ?
Doctor Sex- Messages : 499
Date d'inscription : 14/07/2012
Age : 45
Localisation : Vallée de Gouédic
Re: Drogues, ivresses
L'usage abusif de codéine conduit immanquablement à une constipation sévère... Normal, on l'utilisait autrefois comme anti-diarrhétique...
Il suffit d'arrêter la consommation de codéine pour retrouver un transit normal...
Il suffit d'arrêter la consommation de codéine pour retrouver un transit normal...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Drogues, ivresses
Ce n'était pas tout à fait le sens de ma question : qu'est-ce qui permet de "neutraliser" cet effet de la codéine ?
Doctor Sex- Messages : 499
Date d'inscription : 14/07/2012
Age : 45
Localisation : Vallée de Gouédic
Re: Drogues, ivresses
Si j'ai parfaitement compris : le beurre et l'argent du beurre !
Non, il n'y a rien, c'est l'un ou l'autre...
Non, il n'y a rien, c'est l'un ou l'autre...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Drogues, ivresses
Méfie-toi tout de même, si tu alternes codéine et laxatifs tu risques d'avoir de très graves problèmes intestinaux !!
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 44
Re: Drogues, ivresses
Un article dans Technikart datant (déjà) de 2002 qui s'inquiète que le Néo-codion soit en vente libre en France :
http://www.technikart.com/archives/4482-lopium-du-peuple
http://www.technikart.com/archives/4482-lopium-du-peuple
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Drogues, ivresses
hippium a écrit:Méfie-toi tout de même, si tu alternes codéine et laxatifs tu risques d'avoir de très graves problèmes intestinaux !!
Ce n'est pas pour moi, c'est juste pour "savoir"...
Doctor Sex- Messages : 499
Date d'inscription : 14/07/2012
Age : 45
Localisation : Vallée de Gouédic
Re: Drogues, ivresses
Tu peux quand même essayer des choses pas trop agressives comme la gelée Lansoÿl, l'infusion boldoflorine, en faisant très attention à ton régime alimentaire et en buvant beaucoup d'eau, genre Hépar...
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 44
Re: Drogues, ivresses
Doctor Sex a écrit:
Ce n'est pas pour moi, c'est juste pour "savoir"...
mimi pinçon- Messages : 1127
Date d'inscription : 18/11/2011
Re: Drogues, ivresses
Moi pour rigoler, j'aurai demandé qui est "savoir".
Sinon, vu la consommation de produits "spéciaux" mentionnés ici, je suis content de ne pas en être dépendant et de me contenter d'un comprimé de zyloric par jour (qu'il m'arrive d'oublier).
Sinon, vu la consommation de produits "spéciaux" mentionnés ici, je suis content de ne pas en être dépendant et de me contenter d'un comprimé de zyloric par jour (qu'il m'arrive d'oublier).
Re: Drogues, ivresses
rainbowgeek a écrit:je suis content de ne pas en être dépendant
Bienheureux celui qui n'a besoin d'aucune substance pour l'aider à supporter la dureté de ce monde...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Drogues, ivresses
Merci. J'ai entendu dire qu'il était possible d'extraire la codéine des comprimés de paracétamol codéïné, avec une méthode à froid très simple
Doctor Sex- Messages : 499
Date d'inscription : 14/07/2012
Age : 45
Localisation : Vallée de Gouédic
Re: Drogues, ivresses
Aucun intérêt d'extraire la codéine du paracétamol : tu trouves directement la codéine dans le Néo-codion ou le Tussipax...
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 44
Re: Drogues, ivresses
BENZI, Marino, 1972, Les derniers adorateurs du Peyotl, Ed. Gallimard.
Les Huichol ou Wixáritari sont un peuple indigène vivant dans la Sierra Madre occidentale au centre-ouest du Mexique, principalement dans les états de Jalisco, Nayarit, Zacatecas et Durango. Les huichols parlent une langue de la famille uto-aztèque, le vixaritari vaniuki ou Wixárika. Ils se dénomment eux-mêmes les wixarica, ce qui signifie « les gens » dans cette langue.La région wixarika s'assoit sur l'échine de la Sierra Madre occidentale, dans l'état de Jalisco. Elle est divisée en cinq grandes communautés. Chacune est autonome avec ses propres autorités civiles — le totohuani est un gouverneur nommé chaque année — et religieuses — les maraakates, ou maraakames sont des prêtres ou des chanteurs chargés de maintenir les traditions. Dans la sierra Madre, les Huicholes, derniers adorateurs du peyotl, cactus hallucinogène, ont gardé certaines traditions qui ne sont pas sans évoquer la société du temps des Aztèques. Chaque année, ils accomplissent 500 km afin de récolter le cactus hallucinogène qui permet de " parler aux dieux ".
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Drogues, ivresses
"Tout est drogue à qui choisit pour vivre l'autre côté"
Henri Michaux
Henri Michaux
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Drogues, ivresses
"Je cherche le moyen d'aimer d'être complètement perdu"
Carsten Höller
Carsten Höller
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Drogues, ivresses
Le pavot, un défilé de haute culture (Libération 27 avril 2013)
Plus de dix ans d’intervention internationale n’y ont rien changé. L’Afghanistan produit toujours 90% de l’opium mondial. Et selon le dernier rapport du Bureau de l’ONU contre la drogue et le crime (UNODC), publié le 15 avril, les perspectives pour cette années sont alarmantes. «Les surfaces cultivées de pavot ne vont pas simplement croître dans les zones déjà productrices en 2012… mais aussi dans les régions où la culture était nulle», souligne l’ONU. En augmentation depuis trois ans, les cultures devraient s’étendre cette année sur près de 155 000 hectares.
Accablantes aussi bien pour l’Otan, déployée depuis 2003 dans le pays, que pour le gouvernement afghan, les conclusions de l’ONU n’ont été officiellement commentées que par l’Union européenne. Dans un communiqué diffusé le 17 avril, ses représentants à Kaboul se sont dits «préoccupés» et ont rappelé que 90% de l’héroïne - un dérivé de l’opium - consommée en Europe était originaire d’Afghanistan.
«Poppy free».
Selon les experts des Nations unies qui ont rencontré les représentants de plus de 500 villages, l’augmentation de la production de pavot tient avant tout à sa rentabilité. Même si les prix ont récemment baissé, après une forte hausse en 2010 lorsqu’un parasite avait détruit la moitié des cultures, 1 kg d’opium se vend aujourd’hui 160 dollars (123 euros), contre 1,25 dollar pour 1 kg de riz ou moins de 50 cents pour 1 kg de blé.
Les cultivateurs de pavot reçoivent en outre des avances de paiement de la part des trafiquants. Si la récolte est mauvaise ou détruite par le gouvernement, le remboursement de ces avances peut être repoussé d’un an. Dans ces conditions, les aides légales, qui prennent la forme de dons de semences, d’engrais ou de construction de systèmes d’irrigation pour inciter les fermiers afghans à se détourner de la culture du pavot, semblent peu efficaces. Plus du tiers des villages étudiés par l’ONU qui en ont bénéficié n’ont pas cessé pour autant la production d’opium.
Sans surprise, les Nations unies notent que les régions les moins sécurisées sont aussi celles où les cultures de pavot s’étendent. Les provinces du Sud - dont Kandahar, fief historique des talibans, et le Helmand, très largement contrôlé par l’insurrection - concentraient l’an dernier plus de 70% de la production totale de l’Afghanistan. Les surfaces cultivées devraient encore augmenter cette année, tout comme celles des régions ouest, frontalières de l’Iran. Considérée comme poppy free («sans opium») en 2011, la province de Kapisa (à une cinquantaine de kilomètres à l’est de Kaboul), où était déployée l’armée française, n’est plus épargnée. Le parallèle entre insurrection et production de pavot y est flagrant : la hausse la plus forte est attendue dans les districts d’Alassaï et de Tagab, où les talibans et les membres du Hezb-e islami, le groupe islamiste de Gulbuddin Hekmatyar, sont les plus implantés. Tout aussi inquiétantes, les provinces de Balkh et Takhar, dans le nord, pourraient voir leurs premiers champs de pavot fleurir cette année.
Taxes.
Contrairement à une idée reçue, les insurgés ne perçoivent qu’environ 10% du montant généré par le trafic d’opium en Afghanistan, essentiellement via leurs taxes sur la production et le transport, selon l’ONU. Les paysans en récupèrent, eux, environ 20%. Le reste se partage entre les trafiquants et une multitude d’intermédiaires, depuis des policiers corrompus jusqu’aux autorités locales et nationales. Alors que certains membres de l’entourage du président, Hamid Karzaï, sont suspectés de profiter du trafic, le gouvernement afghan s’est engagé à détruire cette année 15 000 hectares de champs de pavot, contre 10 000 en 2012. Entamée en mars, la campagne de fauchage a déjà coûté la vie à 31 policiers et soldats.
«Dans les zones rurales, on donne de l’opium aux enfants pour des maux d’estomac, car il est facilement disponible.»
Fazalwahid Tahiri directeur du centre de traitement Wadan, à Jalalabad (est)
Plus de dix ans d’intervention internationale n’y ont rien changé. L’Afghanistan produit toujours 90% de l’opium mondial. Et selon le dernier rapport du Bureau de l’ONU contre la drogue et le crime (UNODC), publié le 15 avril, les perspectives pour cette années sont alarmantes. «Les surfaces cultivées de pavot ne vont pas simplement croître dans les zones déjà productrices en 2012… mais aussi dans les régions où la culture était nulle», souligne l’ONU. En augmentation depuis trois ans, les cultures devraient s’étendre cette année sur près de 155 000 hectares.
Accablantes aussi bien pour l’Otan, déployée depuis 2003 dans le pays, que pour le gouvernement afghan, les conclusions de l’ONU n’ont été officiellement commentées que par l’Union européenne. Dans un communiqué diffusé le 17 avril, ses représentants à Kaboul se sont dits «préoccupés» et ont rappelé que 90% de l’héroïne - un dérivé de l’opium - consommée en Europe était originaire d’Afghanistan.
«Poppy free».
Selon les experts des Nations unies qui ont rencontré les représentants de plus de 500 villages, l’augmentation de la production de pavot tient avant tout à sa rentabilité. Même si les prix ont récemment baissé, après une forte hausse en 2010 lorsqu’un parasite avait détruit la moitié des cultures, 1 kg d’opium se vend aujourd’hui 160 dollars (123 euros), contre 1,25 dollar pour 1 kg de riz ou moins de 50 cents pour 1 kg de blé.
Les cultivateurs de pavot reçoivent en outre des avances de paiement de la part des trafiquants. Si la récolte est mauvaise ou détruite par le gouvernement, le remboursement de ces avances peut être repoussé d’un an. Dans ces conditions, les aides légales, qui prennent la forme de dons de semences, d’engrais ou de construction de systèmes d’irrigation pour inciter les fermiers afghans à se détourner de la culture du pavot, semblent peu efficaces. Plus du tiers des villages étudiés par l’ONU qui en ont bénéficié n’ont pas cessé pour autant la production d’opium.
Sans surprise, les Nations unies notent que les régions les moins sécurisées sont aussi celles où les cultures de pavot s’étendent. Les provinces du Sud - dont Kandahar, fief historique des talibans, et le Helmand, très largement contrôlé par l’insurrection - concentraient l’an dernier plus de 70% de la production totale de l’Afghanistan. Les surfaces cultivées devraient encore augmenter cette année, tout comme celles des régions ouest, frontalières de l’Iran. Considérée comme poppy free («sans opium») en 2011, la province de Kapisa (à une cinquantaine de kilomètres à l’est de Kaboul), où était déployée l’armée française, n’est plus épargnée. Le parallèle entre insurrection et production de pavot y est flagrant : la hausse la plus forte est attendue dans les districts d’Alassaï et de Tagab, où les talibans et les membres du Hezb-e islami, le groupe islamiste de Gulbuddin Hekmatyar, sont les plus implantés. Tout aussi inquiétantes, les provinces de Balkh et Takhar, dans le nord, pourraient voir leurs premiers champs de pavot fleurir cette année.
Taxes.
Contrairement à une idée reçue, les insurgés ne perçoivent qu’environ 10% du montant généré par le trafic d’opium en Afghanistan, essentiellement via leurs taxes sur la production et le transport, selon l’ONU. Les paysans en récupèrent, eux, environ 20%. Le reste se partage entre les trafiquants et une multitude d’intermédiaires, depuis des policiers corrompus jusqu’aux autorités locales et nationales. Alors que certains membres de l’entourage du président, Hamid Karzaï, sont suspectés de profiter du trafic, le gouvernement afghan s’est engagé à détruire cette année 15 000 hectares de champs de pavot, contre 10 000 en 2012. Entamée en mars, la campagne de fauchage a déjà coûté la vie à 31 policiers et soldats.
«Dans les zones rurales, on donne de l’opium aux enfants pour des maux d’estomac, car il est facilement disponible.»
Fazalwahid Tahiri directeur du centre de traitement Wadan, à Jalalabad (est)
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Drogues, ivresses
Ça doit dater du début des soixante.
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
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