Sorties de salle
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Re: Sorties de salle
Et comme tu dis Mimi, c'est le règne de la mièvrerie
Dr_Natural- Messages : 1663
Date d'inscription : 02/08/2011
Re: Sorties de salle
Se Battre est un film documentaire réalisé par Jean-Pierre Duret et Andrea Santana qui montre qu'aujourd'hui, pour plus de 13 millions de Français, la vie se joue chaque mois à 50€ près.
"De manière générale, je trouve, dit le réalisateur, que beaucoup de gens sont maltraités sur cette terre.on caractérise les gens par leur situation économique mais on ne voit pas qui ils sont derrière, la personne humaine. Il est plus simple d'abandonner les gens au vu de leur situation économique.
"De manière générale, je trouve, dit le réalisateur, que beaucoup de gens sont maltraités sur cette terre.on caractérise les gens par leur situation économique mais on ne voit pas qui ils sont derrière, la personne humaine. Il est plus simple d'abandonner les gens au vu de leur situation économique.
Re: Sorties de salle
Je viens de voir Kumbh Mela, sur les rives du fleuve sacré de Pan Nalin, l'auteur de Samsara, sur le plus grand rassemblement religieux du monde qui réunit sur les rives du Gange tous les 12 ans, 100 millions de pèlerins. Magnifique.
Capucine- Messages : 578
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 36
Localisation : Rennes
Re: Sorties de salle
Métamorphoses Christophe Honoré revisite les Métamorphoses d'Ovide transposées à notre époque.
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Sorties de salle
Brèves de comptoir de Jean-Michel Ribes d'après Jean-Marie Gourio
Une journée de la vie d'un bistro parisien, avec les réflexions des clients...
On aurait pu croire qu'une telle collection de breves de comptoir franchisse mal le seuil du cinéma, finisse par lasser mais Ribes évite cet écueil.
Tout le génie de l'esprit populaire de piliers de bistros parisiens. Avec le génial Benureau en patron de café, "de gauche bien sûr, mais votant toujours à droite"
Une journée de la vie d'un bistro parisien, avec les réflexions des clients...
On aurait pu croire qu'une telle collection de breves de comptoir franchisse mal le seuil du cinéma, finisse par lasser mais Ribes évite cet écueil.
Tout le génie de l'esprit populaire de piliers de bistros parisiens. Avec le génial Benureau en patron de café, "de gauche bien sûr, mais votant toujours à droite"
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Sorties de salle
Territoire de la liberté documentaire franco-russe d'Alexandre Kousnetsov.
Dans les monts Stoblys, au cœur de la taïga siberienne, une communauté libertaire, utopiste et hédoniste d'alpinistes épris de poésie et de liberté.
Dans les monts Stoblys, au cœur de la taïga siberienne, une communauté libertaire, utopiste et hédoniste d'alpinistes épris de poésie et de liberté.
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Sorties de salle
Two Years at Sea de Ben Rivers (UK)
Un homme du nom de Jake vit au milieu de la forêt. Il s'y promène quel que soit le temps et fait la sieste dans les champs brumeux. Construit un radeau pour profiter d'un lac. Transporte ses approvisionnements en bois dans une jeep déglinguée. Il bricole, récupère, entasse. En toutes saisons il survit frugalement, s'attelle à des projets étranges et vit un rêve radical de jeunesse pour lequel il sacrifia deux ans à travailler en mer.
Documentaire britannique, dans la tradition du retour à la nature, profondément pacifiste, à la Thoreau...
Un homme du nom de Jake vit au milieu de la forêt. Il s'y promène quel que soit le temps et fait la sieste dans les champs brumeux. Construit un radeau pour profiter d'un lac. Transporte ses approvisionnements en bois dans une jeep déglinguée. Il bricole, récupère, entasse. En toutes saisons il survit frugalement, s'attelle à des projets étranges et vit un rêve radical de jeunesse pour lequel il sacrifia deux ans à travailler en mer.
Documentaire britannique, dans la tradition du retour à la nature, profondément pacifiste, à la Thoreau...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Sorties de salle
neo-codion a écrit:
Dans les monts Stoblys, au cœur de la taïga siberienne, une communauté libertaire, utopiste et hédoniste d'alpinistes épris de poésie et de liberté.
C'est pas un peu comme votre communauté de la Drôme ?
mimi pinçon- Messages : 1127
Date d'inscription : 18/11/2011
Re: Sorties de salle
Ils sont beaucoup moins alpinistes !!!
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 44
Re: Sorties de salle
...mais plus cyclistes !
Dr_Natural- Messages : 1663
Date d'inscription : 02/08/2011
Re: Sorties de salle
À trois on y va
Charlotte trompe Micha avec Mélodie qui trompe Charlotte avec Micha...
Un film de Jérôme Bonnell
Dr_Natural- Messages : 1663
Date d'inscription : 02/08/2011
Re: Sorties de salle
La Maison Au Toit Rouge de Yoji Yamada
Une vieille japonaise raconte à son petit neveu sa jeunesse, dans le Japon des années 30 où, petite paysanne du Nord, elle est placée comme bonne dans une maison bourgeoise de Tokyo et assiste à la liaison de la maîtresse de maison, une belle Emma Bovary tokyoïte, avec un jeune et séduisant collègue du mari. Mais ce qui est vraiment intéressant dans ce film c'est la confrontation des souvenirs de la vieille tante et de ce que son jeune neveu a appris de l'histoire et de la vie du Japon impérial, militariste et nationaliste. Il est étonné que les gens, à l'époque, aient pu être heureux. Il se demande si les souvenirs de sa tante ne la trahissent pas, il voit dans ses propos du révisionnisme. Ils ne se comprennent pas. Les choses ne sont jamais aussi simples...
Après la mort de la tante, un personnage dira : "aujourd'hui, les gens sont devenus si étriqués d'esprit"... Ce qui n'est certainement pas faux...
Une vieille japonaise raconte à son petit neveu sa jeunesse, dans le Japon des années 30 où, petite paysanne du Nord, elle est placée comme bonne dans une maison bourgeoise de Tokyo et assiste à la liaison de la maîtresse de maison, une belle Emma Bovary tokyoïte, avec un jeune et séduisant collègue du mari. Mais ce qui est vraiment intéressant dans ce film c'est la confrontation des souvenirs de la vieille tante et de ce que son jeune neveu a appris de l'histoire et de la vie du Japon impérial, militariste et nationaliste. Il est étonné que les gens, à l'époque, aient pu être heureux. Il se demande si les souvenirs de sa tante ne la trahissent pas, il voit dans ses propos du révisionnisme. Ils ne se comprennent pas. Les choses ne sont jamais aussi simples...
Après la mort de la tante, un personnage dira : "aujourd'hui, les gens sont devenus si étriqués d'esprit"... Ce qui n'est certainement pas faux...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
La Maison au toit rouge
Taki est un être de silence. Jusqu'à sa mort, elle taira son amour impossible pour le beau et sensible Masaki, l'amant de sa maîtresse, dans les années 30-40 et ne se mariera jamais.
Devenue vieille, lorsqu'elle racontera à son petit neveu Takeshi qu'elle a été bonne, celui-ci lui répondra qu'à cette époque, avant la guerre, être bonne, c'était presque être une esclave. Taki ne jugera même pas utile de répondre à son petit neveu que lui-même est l'esclave du monde moderne et de ses préjugés, esclave de ses idées reçues...
Devenue vieille, lorsqu'elle racontera à son petit neveu Takeshi qu'elle a été bonne, celui-ci lui répondra qu'à cette époque, avant la guerre, être bonne, c'était presque être une esclave. Taki ne jugera même pas utile de répondre à son petit neveu que lui-même est l'esclave du monde moderne et de ses préjugés, esclave de ses idées reçues...
oiseaulys- Messages : 356
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Sorties de salle
Il passe à Valence, au Navire. On y va ?
creme_de_marron- Messages : 595
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Sorties de salle
Mercredi 1er juillet est sorti Love & Mercy de Bill Pohlad, un biopic sur Brian Wilson, le fondateur des Beach Boys, musicien de génie admiré par McCartney et schizophrène...
Le rôle de Brian Wilson est joué par deux comédiens, correspondant aux deux périodes de sa vie, entre succès et folie...
Le rôle de Brian Wilson est joué par deux comédiens, correspondant aux deux périodes de sa vie, entre succès et folie...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Sorties de salle
Le Petit Prince au cinéma, d'après le "chef-d'oeuvre" de Saint-Exupéry, encore une belle daube en perspective à éviter !
mimi pinçon- Messages : 1127
Date d'inscription : 18/11/2011
Natür Therapy
Je n'avais pas eu de prime abord l'intention d'aller voir Natür Therapy, assez rebuté par le titre "français" (qui fait un étonnant contre-sens sur le sens du film puisqu'il ne s'agit pas de thérapie mais bien de description de pathologie !Le titre original est Mot Naturen, Contre la nature ! ) et parce que j'avais un peu l'impression de savoir à quoi m'attendre ! Finalement, j'y suis allé et ce fut en fait une demi bonne surprise ou plutôt qu'une demi déception !
Ce film porte sur l'expérience du vide.
Dans notre société complétement autocentrée, rétrocentrée et onaniste (qui bande mou), il ne s'agit pas d'aller se "ressourcer" dans la "nature" pour combler le vide de l'identité, son propre vide, puisque plus que la "nature", c'est de la nature dénaturée de l'homme moderne dont il est évidemment question et dont le culte des corps, la performance, (il faut courir pour forger son corps) et... l'épilation (sans oublier les tatouages et autres piercings) sont aujourd'hui les signes les plus manifestes.
On sait dès le début que la tentative du personnage d'échapper à lui-même, à son propre vide, malgré son simulacre de "renaissance" à la Jodorowski ("il faut aimer sa tombe comme sa mère"), est voué à l'échec, dans notre société atomisée sans plus aucun vrai lien entre les êtres et dans laquelle l'autre est même un concurrent (vive le sport et l'esprit sportif !)
On le devine, on le sait, car au lieu de s'arrêter pour réfléchir, de dialoguer, d'essayer de construire, l'homme n'arrête pas de courir, de se faire son cinéma permanent intérieur en un monologue insipide, dénué de toute perspective, qui nous est infligé (on lui conseillerait volontiers de consulter un praticien de la méthode Vittoz) ! Cette aspiration du vide est caractéristique de notre époque ! Evidemment, si l'auteur n'avait pas osé remplir le vide par ce monologue, le spectateur aurait eu vite fait de remplir l'espace par une quelconque blessure secrète de l'homme et le film en aurait été probablement changé... S'il peut parfois sembler être ému par la solitude de son fils c'est uniquement parce que cela renvoie le personnage à son propre être avec lequel il est particulièrement très complaisant. Cette obsession de "se vider la tête" est très moderne : on va courir en forêt on écoutant de la musique, ça fait penser à ce couple d'ados de Ung Flukt qui, déjà, enmenait la radio dans leur "paradis" campagnard ! Déjà le vide !!
Sur le plan technique, l'image est souvent laide, le cadrage aléatoire, et oscille entre la vidéo filmée avec un téléphone portable et le clip publicitaire pour opticien (l'aigle, il est fou Afflelou, Atoll les opticiens ! ); la nature, l'autre, la vraie, n'est pas magnifiée et est, au contraire, sombre, terne, inquiétante (l'homme tressaille au moindre bruit) et renforce le sentiment de malaise, la caméra (omniprésente : on ne l'oublie pas, on ne voit qu'elle !) est instable, agaçante, comme ces gens qui à côté de vous gigotent sans arrêt la jambe pour battre le vide du temps qui passe alors que vous être en train de lire, assis dans le métro !
Ce film porte sur l'expérience du vide.
Dans notre société complétement autocentrée, rétrocentrée et onaniste (qui bande mou), il ne s'agit pas d'aller se "ressourcer" dans la "nature" pour combler le vide de l'identité, son propre vide, puisque plus que la "nature", c'est de la nature dénaturée de l'homme moderne dont il est évidemment question et dont le culte des corps, la performance, (il faut courir pour forger son corps) et... l'épilation (sans oublier les tatouages et autres piercings) sont aujourd'hui les signes les plus manifestes.
On sait dès le début que la tentative du personnage d'échapper à lui-même, à son propre vide, malgré son simulacre de "renaissance" à la Jodorowski ("il faut aimer sa tombe comme sa mère"), est voué à l'échec, dans notre société atomisée sans plus aucun vrai lien entre les êtres et dans laquelle l'autre est même un concurrent (vive le sport et l'esprit sportif !)
On le devine, on le sait, car au lieu de s'arrêter pour réfléchir, de dialoguer, d'essayer de construire, l'homme n'arrête pas de courir, de se faire son cinéma permanent intérieur en un monologue insipide, dénué de toute perspective, qui nous est infligé (on lui conseillerait volontiers de consulter un praticien de la méthode Vittoz) ! Cette aspiration du vide est caractéristique de notre époque ! Evidemment, si l'auteur n'avait pas osé remplir le vide par ce monologue, le spectateur aurait eu vite fait de remplir l'espace par une quelconque blessure secrète de l'homme et le film en aurait été probablement changé... S'il peut parfois sembler être ému par la solitude de son fils c'est uniquement parce que cela renvoie le personnage à son propre être avec lequel il est particulièrement très complaisant. Cette obsession de "se vider la tête" est très moderne : on va courir en forêt on écoutant de la musique, ça fait penser à ce couple d'ados de Ung Flukt qui, déjà, enmenait la radio dans leur "paradis" campagnard ! Déjà le vide !!
Sur le plan technique, l'image est souvent laide, le cadrage aléatoire, et oscille entre la vidéo filmée avec un téléphone portable et le clip publicitaire pour opticien (l'aigle, il est fou Afflelou, Atoll les opticiens ! ); la nature, l'autre, la vraie, n'est pas magnifiée et est, au contraire, sombre, terne, inquiétante (l'homme tressaille au moindre bruit) et renforce le sentiment de malaise, la caméra (omniprésente : on ne l'oublie pas, on ne voit qu'elle !) est instable, agaçante, comme ces gens qui à côté de vous gigotent sans arrêt la jambe pour battre le vide du temps qui passe alors que vous être en train de lire, assis dans le métro !
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Re: Sorties de salle
Louis Ferdinand Céline d'Emmanuel Bourdieu
Didier Lavant surjoue Pieral qui jouerait Céline ! Très mauvais !
Didier Lavant surjoue Pieral qui jouerait Céline ! Très mauvais !
mimi pinçon- Messages : 1127
Date d'inscription : 18/11/2011
Re: Sorties de salle
Rosalie Blum
Un premier petit film assez sympathique tiré d'une bande dessinée... Le film est réalisé comme un puzzle. Il faut donc attendre que presque toutes les pièces soient en place pour commencer à en avoir une idée assez juste, pour ne plus s'égarer dans de fausses pistes volontairement ouvertes...
Dommage que la direction d'acteur ne soit pas toujours à la hauteur.
Le film évoque aussi en creux le profond ennui que certains jeunes ont pu, peuvent ressentir coincés dans petite ville de province : qui d'entre nous n'a pas eu ces soirées "sorcières" ou leur équivalent ?
En prime une réflexion d'Anémone, ex hippies des années 70 : "Le bonheur ? Qu'est-ce que c'est encore cette connerie ? Un truc pour magazine féminin ! "
SYNOPSIS ET DÉTAILS
Vincent Machot connaît sa vie par cœur. Il la partage entre son salon de coiffure, son cousin, son chat, et sa mère bien trop envahissante. Mais la vie réserve parfois des surprises, même aux plus prudents... Il croise par hasard Rosalie Blum, une femme mystérieuse et solitaire, qu'il est convaincu d'avoir déjà rencontrée. Mais où ? Intrigué, il se décide à la suivre partout, dans l'espoir d'en savoir plus. Il ne se doute pas que cette filature va l’entraîner dans une aventure pleine d’imprévus où il découvrira des personnages aussi fantasques qu’attachants. Une chose est sûre : la vie de Vincent Machot va changer…
Distributeur SND
Un premier petit film assez sympathique tiré d'une bande dessinée... Le film est réalisé comme un puzzle. Il faut donc attendre que presque toutes les pièces soient en place pour commencer à en avoir une idée assez juste, pour ne plus s'égarer dans de fausses pistes volontairement ouvertes...
Dommage que la direction d'acteur ne soit pas toujours à la hauteur.
Le film évoque aussi en creux le profond ennui que certains jeunes ont pu, peuvent ressentir coincés dans petite ville de province : qui d'entre nous n'a pas eu ces soirées "sorcières" ou leur équivalent ?
En prime une réflexion d'Anémone, ex hippies des années 70 : "Le bonheur ? Qu'est-ce que c'est encore cette connerie ? Un truc pour magazine féminin ! "
SYNOPSIS ET DÉTAILS
Vincent Machot connaît sa vie par cœur. Il la partage entre son salon de coiffure, son cousin, son chat, et sa mère bien trop envahissante. Mais la vie réserve parfois des surprises, même aux plus prudents... Il croise par hasard Rosalie Blum, une femme mystérieuse et solitaire, qu'il est convaincu d'avoir déjà rencontrée. Mais où ? Intrigué, il se décide à la suivre partout, dans l'espoir d'en savoir plus. Il ne se doute pas que cette filature va l’entraîner dans une aventure pleine d’imprévus où il découvrira des personnages aussi fantasques qu’attachants. Une chose est sûre : la vie de Vincent Machot va changer…
Distributeur SND
creme_de_marron- Messages : 595
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: Sorties de salle
Nous l'avons vu avec Seb, je l'ai trouvé super et les acteurs aussi !
Capucine- Messages : 578
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 36
Localisation : Rennes
Re: Sorties de salle
Très bon film qui porte à l'optimisme; à recommander !
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 44
Re: Sorties de salle
mimi pinçon a écrit:Louis Ferdinand Céline d'Emmanuel Bourdieu
Didier Lavant surjoue Pieral qui jouerait Céline ! Très mauvais !
C'est à dire qu' a priori ce n'est pas du tout un biopic : pour camper Céline, Bourdieu et son comédien se sont plus inspiré du personnage complètement créé par Celine pour se décrire lui-même dans ses livres que du Céline tel qu'il était vraiment dans la vie...
Doctor Sex- Messages : 499
Date d'inscription : 14/07/2012
Age : 46
Localisation : Vallée de Gouédic
Re: Sorties de salle
Le Coeur Régulierde Vanja Alcantara.
Je me suis fait complètement avoir comme un bleu par la bande annonce et Isabelle Carré qui a assuré la promo comme une pro.
Le film est inintéressant : il aligne les convenances et les clichés sur un Japon complètement fantasmé, sur la vie, la mort, et l'absence de scénario tient lieu de poésie. Quelques "belles z'images" pour faire joli comme un catalogue de voyage, quelques silences pour faire profond !
Je me suis fait complètement avoir comme un bleu par la bande annonce et Isabelle Carré qui a assuré la promo comme une pro.
Le film est inintéressant : il aligne les convenances et les clichés sur un Japon complètement fantasmé, sur la vie, la mort, et l'absence de scénario tient lieu de poésie. Quelques "belles z'images" pour faire joli comme un catalogue de voyage, quelques silences pour faire profond !
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
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