critiques de films
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Re: critiques de films
Je me souviens avoir quitté la salle avant la fin du film. Très dur !
creme_de_marron- Messages : 595
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: critiques de films
Cet après-midi, dans le métro, assis en face de moi, imposant : Jean-Claude Brisseau. Je n'ai pas osé l'aborder...
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
La Dentellière/Anna M
Je voudrais vous parler de deux films qui parlent tous deux, à trente ans d'intervalle, de deux folies.
Tout d'abord celle de Pomme (admirable Isabelle Huppert, la plus grande actrice française !) dans La Dentellière de Claude Goretta (1977, d'après Pascal Lainé qui a collaboré à l'écriture du film) qui à force de mutisme de vie étriquée sans aucun horizon, ne comprend pas, ne comprend plus le monde et s'enferme définitivement dans le silence et les rêves.
Anna M (film de Michel Spinosa en 2007 avec Isabelle Carré), qui ne ressemble en rien à Pomme, souffre d'érotomanie, très grave maladie, où la personne atteinte se croit aimée jusqu'au délire.
Voilà deux folies. Ces deux films portent un regard sombre, pessimiste, sur la capacité de la psychiatrie à aider les malades et sur notre propre capacité à les accueillir, à les comprendre... Les fins respectives de ces deux films se rejoignent : dans le premier, un voyage en Grèce projeté, dans le second la protagoniste rit du temps "où elle était folle", laissent croire un instant aux proches que la guérison peut se profiler. Seul, le spectateur découvre que ces deux femmes s'enfoncent encore plus dans leur folie... Irrémédiablement...
Tout d'abord celle de Pomme (admirable Isabelle Huppert, la plus grande actrice française !) dans La Dentellière de Claude Goretta (1977, d'après Pascal Lainé qui a collaboré à l'écriture du film) qui à force de mutisme de vie étriquée sans aucun horizon, ne comprend pas, ne comprend plus le monde et s'enferme définitivement dans le silence et les rêves.
Anna M (film de Michel Spinosa en 2007 avec Isabelle Carré), qui ne ressemble en rien à Pomme, souffre d'érotomanie, très grave maladie, où la personne atteinte se croit aimée jusqu'au délire.
Voilà deux folies. Ces deux films portent un regard sombre, pessimiste, sur la capacité de la psychiatrie à aider les malades et sur notre propre capacité à les accueillir, à les comprendre... Les fins respectives de ces deux films se rejoignent : dans le premier, un voyage en Grèce projeté, dans le second la protagoniste rit du temps "où elle était folle", laissent croire un instant aux proches que la guérison peut se profiler. Seul, le spectateur découvre que ces deux femmes s'enfoncent encore plus dans leur folie... Irrémédiablement...
hipnik- Messages : 1554
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: critiques de films
Et aussi, toujours avec la talentueuse Isabelle Carré et Bernard Campan, se souvenir des belles choses de Zabou Breitman !
Durga- Admin
- Messages : 2792
Date d'inscription : 01/08/2011
Race d'Ep
Race d'Ep, film documentaire (1979) de Lionel Soukaz et Guy Hocquenghem, un siècle d'images de l'homosexualité, du baron Gloeden au FHAR.
Film culte de Lionel Soukaz, écrit et joué par Guy Hocquenghem, Race d’Ep ! propose un voyage dans le siècle en quatre temps. Quatre histoires autour des archétypes de l’inconscient gay. 1900 : Le Temps de la pose, un ancien modèle évoque le souvenir d’un riche baron allemand photographiant de jeunes éphèbes dénudés. 1930, Berlin : Des années folles à l’extermination, le récit de la secrétaire lesbienne du Dr Magnus Hirschfeld, fondateur de l’institut de sexologie. L'étape suivante nous plonge au coeur des sixties, dans un Éden hippie pour « jeunes-hommes-fleurs ». Enfin, avec Royal Opéra, on suit les déambulations nocturnes de deux hommes sur les berges de la Seine pour une nuit de drague dans le Paris des années 70.
« Race d’Ep ! est nécessaire, faisant comprendre qu’il n’est, dans l’histoire, jamais d’acquis, que l’homosexualité est toujours une révolte, non un état, que son désir ne vit que d’affirmation conquérante et ne permet jamais l’installation. » René Scherer
Depuis plus de trente ans, Lionel Soukaz fait des films expérimentaux autoproduits. Il travaille la question de l’identité pédé dans une oeuvre éclectique où la rébellion n’est jamais très loin…
Source : http://www.cinemarges.net/festival2006/films/racedep.html
Film culte de Lionel Soukaz, écrit et joué par Guy Hocquenghem, Race d’Ep ! propose un voyage dans le siècle en quatre temps. Quatre histoires autour des archétypes de l’inconscient gay. 1900 : Le Temps de la pose, un ancien modèle évoque le souvenir d’un riche baron allemand photographiant de jeunes éphèbes dénudés. 1930, Berlin : Des années folles à l’extermination, le récit de la secrétaire lesbienne du Dr Magnus Hirschfeld, fondateur de l’institut de sexologie. L'étape suivante nous plonge au coeur des sixties, dans un Éden hippie pour « jeunes-hommes-fleurs ». Enfin, avec Royal Opéra, on suit les déambulations nocturnes de deux hommes sur les berges de la Seine pour une nuit de drague dans le Paris des années 70.
« Race d’Ep ! est nécessaire, faisant comprendre qu’il n’est, dans l’histoire, jamais d’acquis, que l’homosexualité est toujours une révolte, non un état, que son désir ne vit que d’affirmation conquérante et ne permet jamais l’installation. » René Scherer
Depuis plus de trente ans, Lionel Soukaz fait des films expérimentaux autoproduits. Il travaille la question de l’identité pédé dans une oeuvre éclectique où la rébellion n’est jamais très loin…
Source : http://www.cinemarges.net/festival2006/films/racedep.html
Ria_Bartok- Messages : 341
Date d'inscription : 01/08/2011
Localisation : Chaumont (Haute-Marne)
Re: critiques de films
De la guerre de Bertrand Bonello.
Un jeune homme parvient dans une communauté.
Voir par exemple la scène de transe qui commence à 4.20 (dans le film, elle dure au moins deux fois plus longtemps).
Asia Argento en initiatrice inspirée.
Eon- Messages : 490
Date d'inscription : 06/08/2011
Mina Tannenbaum
Mina Tannenbaum
Film culte de Martine Dugowson (1993) avec Elsa Zylberstein et Romane Bohringer
Deux petites filles juives solitaires et un peu rejetées, deviennent amies le jour de la rentrée des classes au début des années 60. On les retrouve à l'adolescence, en pleine époque hippie , assises sur le même banc où, enfants, elles s'échangeaient chaque matin leurs rêves... Elles découvrent ensemble alors leurs premiers émois pour les garçons... L'une, introvertie, deviendra artiste peintre, l'autre, extravertie, journaliste et se mariera avec un goy... La vie aura-t-elle raison de leur amitié ? Elles se perdront et l'une, d'avoir douté de l'amour de l'autre, se suicidera. Sans rien savoir...
Au delà de cette belle histoire de la destinée d'une amitié d'enfance le film tente de répondre à travers le personnage de la cousine (magnifique rôle secondaire de Florence Thomassin, et pourtant personnage central) à la question : qui sommes-nous finalement pour les autres et les autres qui sont-ils pour nous ?
Film culte de Martine Dugowson (1993) avec Elsa Zylberstein et Romane Bohringer
Deux petites filles juives solitaires et un peu rejetées, deviennent amies le jour de la rentrée des classes au début des années 60. On les retrouve à l'adolescence, en pleine époque hippie , assises sur le même banc où, enfants, elles s'échangeaient chaque matin leurs rêves... Elles découvrent ensemble alors leurs premiers émois pour les garçons... L'une, introvertie, deviendra artiste peintre, l'autre, extravertie, journaliste et se mariera avec un goy... La vie aura-t-elle raison de leur amitié ? Elles se perdront et l'une, d'avoir douté de l'amour de l'autre, se suicidera. Sans rien savoir...
Au delà de cette belle histoire de la destinée d'une amitié d'enfance le film tente de répondre à travers le personnage de la cousine (magnifique rôle secondaire de Florence Thomassin, et pourtant personnage central) à la question : qui sommes-nous finalement pour les autres et les autres qui sont-ils pour nous ?
Ria_Bartok- Messages : 341
Date d'inscription : 01/08/2011
Localisation : Chaumont (Haute-Marne)
Partir
Mina Tannenbaum : très beau film !
Partir (2009) de Catherine Corsini, une bourgeoise (Kristin Scott Thomas) épouse d'un très riche médecin (Yvan Attal) tombe amoureuse d'un ouvrier (le très sexy Sergi Lopez) et quitte tout pour lui. Sans éviter certains clichés et quelques mièvreries, la passion sexuelle admirablement bien filmée.
Partir (2009) de Catherine Corsini, une bourgeoise (Kristin Scott Thomas) épouse d'un très riche médecin (Yvan Attal) tombe amoureuse d'un ouvrier (le très sexy Sergi Lopez) et quitte tout pour lui. Sans éviter certains clichés et quelques mièvreries, la passion sexuelle admirablement bien filmée.
patchouli- Messages : 269
Date d'inscription : 13/08/2011
Age : 73
Localisation : Région lilloise
Re: critiques de films
Oui, Mina Tannenbaum très beau film ! Culte !
creme_de_marron- Messages : 595
Date d'inscription : 01/08/2011
Sylvie et le fantôme
Sylvie et le fantôme (1946) est l'un des premiers films (de commande) de Claude Autant-Lara.
Le fantôme d'un homme tué cent ans plus tôt par un mari jaloux revient dans le château de son ancienne maîtresse et tombe amoureux de l'arrière petite fille de celle-ci, une toute jeune fille romanesque. Premier rôle (muet) au cinéma de Jacques Tati en fantôme. Avec aussi Odette Joyeux, François Perier, Jean Desailly et Pierre Larquey. Très poétique. Très belle musique de René Cloërec (le compositeur de la célèbre réclame Jean Mineur)
Le fantôme d'un homme tué cent ans plus tôt par un mari jaloux revient dans le château de son ancienne maîtresse et tombe amoureux de l'arrière petite fille de celle-ci, une toute jeune fille romanesque. Premier rôle (muet) au cinéma de Jacques Tati en fantôme. Avec aussi Odette Joyeux, François Perier, Jean Desailly et Pierre Larquey. Très poétique. Très belle musique de René Cloërec (le compositeur de la célèbre réclame Jean Mineur)
neo-codion- Messages : 1946
Date d'inscription : 03/08/2011
Pierre Schendoerffer
Ce mercredi 14 mars 2012, s'est éteint à 83 ans le réalisateur (et écrivain) Pierre Schoendoerffer, auteur du "Crabe Tambour" (César 1978) et surtout du magnifique La 317ème Section en 1965 avec lequel il invente une nouvelle façon de filmer, proche du grand reportage.
Re: critiques de films
La veille, le 13 mars, mort de Michel Duchaussoy inoubliable père vengeur face à Jean Yanne dans Que la bête meure de Claude Chabrol (1969) et halluciné Scarron dans L'Allée du roi de Nina Companez (1995)
creme_de_marron- Messages : 595
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: critiques de films
Dans Que le bête meure c'est surtout Jean Yanne qui est inoubliable... Son plus grand rôle ?
Durga- Admin
- Messages : 2792
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: critiques de films
Et Le Boucher bien sûr !
Durga- Admin
- Messages : 2792
Date d'inscription : 01/08/2011
Le drapeau noir flotte sur la marmite
Le drapeau noir flotte sur la marmite de Michel Audiard (1971) avec Jean Gabin, Claude Piéplu, Jean Carmet, d'après le roman de René Fallet; musique de Georges Brassens.
Un groupe de vieux anarchistes construit un bateau dans le jardin d'un pavillon de banlieue. Le film fut un demi échec commercial.
Un groupe de vieux anarchistes construit un bateau dans le jardin d'un pavillon de banlieue. Le film fut un demi échec commercial.
Mr_Nostalgia- Admin
- Messages : 309
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: critiques de films
Le futur aux trousses (1 = 2) (1974 par Dolorès Grassian)
Un génial informaticien propose à chacun de vivre une "double identité" dans laquelle il pourra assouvir tous ses désirs les plus secrets.
Mais quand l'imagination et l'utopie sont au pouvoir c'est rapidement le chaos et l'anarchie et l'Etat aura vite fait de remettre de l'ordre de façon autoritaire.
C'est un premier film, avec ses maladresses, parfois un côté très documentaire, mais un film très représentatif d'une époque et attachant. Avec une pléiade d'excellents acteurs : Andrea Ferreol, Bernard Fresson, Michel Aumont, Claude Rich
Un génial informaticien propose à chacun de vivre une "double identité" dans laquelle il pourra assouvir tous ses désirs les plus secrets.
Mais quand l'imagination et l'utopie sont au pouvoir c'est rapidement le chaos et l'anarchie et l'Etat aura vite fait de remettre de l'ordre de façon autoritaire.
C'est un premier film, avec ses maladresses, parfois un côté très documentaire, mais un film très représentatif d'une époque et attachant. Avec une pléiade d'excellents acteurs : Andrea Ferreol, Bernard Fresson, Michel Aumont, Claude Rich
Dr_Natural- Messages : 1663
Date d'inscription : 02/08/2011
Re: critiques de films
Restauré image par image et la bande son améliorée le film de George Dunning Yellow Submarine sorti en 1968 et quintessence du psychédélisme vient de faire l'objet d'une nouvelle édition en DVD. Ce film avait été un relatif échec commercial lors de sa sortie malgré la musique des Beatles.
Concord/Universal Music; Yellow Submarine; DVD Apple/EMI
http://www.sortie-cine.fr/videos/yellow-submarine-2012-bande-annonce-du-film.html
Concord/Universal Music; Yellow Submarine; DVD Apple/EMI
http://www.sortie-cine.fr/videos/yellow-submarine-2012-bande-annonce-du-film.html
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 44
Sita sings the blues
Sita sings the blues est un très joli film d'animation de Nina Paley (USA 2005) basé sur des légendes indiennes (Inde) tirées du Râmâyama...
patchouli- Messages : 269
Date d'inscription : 13/08/2011
Age : 73
Localisation : Région lilloise
Sita sings the blues
Sita Sings the Blues est un délicieux dessin animé qui raconte, bien sûr, l'histoire de Sita, du Ramayana.
L'histoire est mêlée à celle de la réalisatrice, et le type de dessin diffère selon l'héroïne.
Les chansons, qui collent exactement avec l'histoire, datent des années 1920 et sont chantées par Annette Hanshaw (1901-1985).
Si vous voulez en savoir plus sur cette belle aventure de la réalisatrice, je vous invite à faire une petite visite sur ce site ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Sita_Sings_the_Blues ) , vous comprendrez mieux le début du générique.
http://www.sitasingstheblues.com/
L'histoire est mêlée à celle de la réalisatrice, et le type de dessin diffère selon l'héroïne.
Les chansons, qui collent exactement avec l'histoire, datent des années 1920 et sont chantées par Annette Hanshaw (1901-1985).
Si vous voulez en savoir plus sur cette belle aventure de la réalisatrice, je vous invite à faire une petite visite sur ce site ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Sita_Sings_the_Blues ) , vous comprendrez mieux le début du générique.
http://www.sitasingstheblues.com/
patchouli- Messages : 269
Date d'inscription : 13/08/2011
Age : 73
Localisation : Région lilloise
Re: critiques de films
Ce dessin animé est vraiment magnifique !
Durga- Admin
- Messages : 2792
Date d'inscription : 01/08/2011
Kalki Koechlin
Kalki Koechlin, la petite coqueluche française du cinéma d'auteur indien !
"Elle a des cheveux châtains, le minois toujours adolescent, un nez retroussé et un rire de lumière. Depuis trois ans, Kalki Koechlin a imposé sa silhouette fine et déliée sur les écrans indiens. Sa notoriété s'installe film après film. Elle ne jouit pas à proprement parler du statut de star féminine que Bollywood réserve à des beautés pulpeuses et stéréotypées (Kareena Kapoor, Katrina Kaif...) sacrifiant aux fameuses chorégraphies. Elle est plutôt la révélation du cinéma d'auteur. Une sorte d'égérie de la nouvelle vague à l'indienne dont son mari, le réalisateur Anurag Kashyap, est le sulfureux porte-étendard."
http://www.lemonde.fr/style/article/2012/06/08/l-egerie-frenchie-du-cinema-hindi_1714140_1575563.html
"Elle a des cheveux châtains, le minois toujours adolescent, un nez retroussé et un rire de lumière. Depuis trois ans, Kalki Koechlin a imposé sa silhouette fine et déliée sur les écrans indiens. Sa notoriété s'installe film après film. Elle ne jouit pas à proprement parler du statut de star féminine que Bollywood réserve à des beautés pulpeuses et stéréotypées (Kareena Kapoor, Katrina Kaif...) sacrifiant aux fameuses chorégraphies. Elle est plutôt la révélation du cinéma d'auteur. Une sorte d'égérie de la nouvelle vague à l'indienne dont son mari, le réalisateur Anurag Kashyap, est le sulfureux porte-étendard."
http://www.lemonde.fr/style/article/2012/06/08/l-egerie-frenchie-du-cinema-hindi_1714140_1575563.html
Durga- Admin
- Messages : 2792
Date d'inscription : 01/08/2011
Kalki Koechlin
...elle joue également dans le film Trishna qui sort cette semaine.
Durga- Admin
- Messages : 2792
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: critiques de films
En fait Trishna, il s'agit d'une adaptation du roman Tess d'Urberville de Thomas Hardy transposé dans l'Inde d'aujourd'hui...
Ne perdez pas votre temps, revoyez plutôt la version de Roman Polanski avec Nastassja Kinski, tournée en 1979 !
Ne perdez pas votre temps, revoyez plutôt la version de Roman Polanski avec Nastassja Kinski, tournée en 1979 !
hippium- Messages : 1819
Date d'inscription : 01/08/2011
Age : 44
Re: critiques de films
Oh, on peut voir Trishna et revoir Tess ....
Durga- Admin
- Messages : 2792
Date d'inscription : 01/08/2011
Ernest Borgnine
L'acteur américain Ernest Borgnine avec sa drôle de gueule qui lui faisait jouer tous les salauds est mort
Il avait eu l'Oscar du meilleur acteur en 1955 pour son rôle dans "Marty" où il jouait un boucher timide et sentimental. On se souvient surtout de son rôle dans L'Empereur du Nord (1973) dans lequel, avec Lee Marvin en clochard vagabond (hobo) pendant la Grande Dépression, il incarnait un chef de train de marchandise particulièrement sadique.
Il avait eu l'Oscar du meilleur acteur en 1955 pour son rôle dans "Marty" où il jouait un boucher timide et sentimental. On se souvient surtout de son rôle dans L'Empereur du Nord (1973) dans lequel, avec Lee Marvin en clochard vagabond (hobo) pendant la Grande Dépression, il incarnait un chef de train de marchandise particulièrement sadique.
Muddy_le_hobo- Messages : 168
Date d'inscription : 05/08/2011
Age : 41
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